Tosca
Opéra Bastille
Mai 2021
Olyrix.com - 04/06/21 - Damien Dutilleul
"Frédéric Caton est un Sacristain vif aux graves solides et au timbre chatoyant"
Récital "Rois et Démons", avec le pianiste Vincent Lansiaux
Grand Théâtre de Tours
29 octobre 2020
lanouvellerepublique.fr - 04/11/20
"Juste avant que le rideau noir du confinement ne retombe sur la scène du Grand Théâtre, Antoine Guerber jouait, après les chants mongols, sa deuxième carte blanche, avec la basse Frédéric Caton. Dès les premiers mots, dès les premières notes, par sa présence cordiale, sa voix d’exception et ses interprétations radieuses, ce grand Monsieur du monde lyrique, tout simple, a conquis le cœur du public.
Avec Rois et Démons, tour à tour basse bouffe, noble ou noire mais toujours basse prodigieuse, Frédéric Caton offrait un florilège d’airs d’opéras et de mélodies, du baroque au 20e siècle. Accompagné du piano de Vincent Lansiaux, impressionnant d’aisance dans tous les styles, et du beau violoncelle de Juliette Hotte, Frédéric Caton, sur scène, est « chez lui », faisant apparaître, à tout moment, des personnages, d’un geste, d’une grimace, d’une intonation, d’un regard. Du Roi des Aulnes, dans la rare version de Loewe à l’ampleur lyrique de La Légende du Roi René de Tchaïkovsky, des affres de la passion de Philippe II, du Don Carlos de Verdi aux tremblements du Génie du froid du Roi Arthur de Purcell, le public, sous le charme, est traversé d’un frisson de bonheur. Voilà pour les rois.
Quant aux démons, c’est Mephisto qui, par la musique de Berlioz, Boito, Gounod et une bouleversante Romance de Rubinstein, envoûte la salle, avant qu’avec la démangeaison de la Puce de Moussorgsky, l’enchanteur Frédéric Caton ne la fasse chanter et chavirer de plaisir, irrémé… diablement."
Pénélope de Fauré
Théatre du Capitole de Toulouse
23 octobre 2020
Forumopera.com - 26/10/20 - Thierry Verger
"La partie d’Eumée, le vieux berger, pour être brève, n’en est pas moins touchante : elle est remarquablement servie par Frédéric Caton. La basse est solide, assurée et uniformément vaillante."
Olyrix.com - 24/10/20 - José Pons
"La basse Frédéric Caton porte une juste émotion dans le rôle du berger resté fidèle à son maître, Eumée. Ses deux interventions au début de l’acte II sont interprétées avec toute la souffrance requise, mais aussi l’espérance du retour."
Toutelaculture.com - 26/10/20 - Gilles Charlassier
"Basse à l’émission solide, Frédéric Caton impose en Eumée un berger protecteur"
La damnation de faust
Opéra de Monte-Carlo
Décembre 2019
Ôlyrix - 17/12/2019 - José Pons
«Frédéric Caton campe un Brander sonore, avec cette fameuse chanson du rat très alertement chanté.»
Bachtrack - 17/12/2019 - Manon Decroix
« Du puissant Brander de Frédéric Caton, nous retenons un timbre rond, subtil et incarné. »
LA flute enchantée
Opéra de Marseille
Septembre 2019
Resmusica - 10/10/2019 - Catherine Scholler
«Dans les seconds rôles, Frédéric Caton, [...] sont impeccables».
Ôlyrix - 25/09/2019 - Florence Lethurgez
«Frédéric Caton est un frère Orateur, porte-parole de la Sagesse, que son timbre braisé et déclamé avec mesure sert par un engagement palpable.»
The Fairy queen
Festival Sinfonia en Périgord
Septembre 2019
Ôlyrix - 04/09/19 - Joël Heuillon
«[...] Frédéric Caton assied une solide basse, sonore, déployée, avec un timbre chaleureux, mais surtout une volonté d'incarner ce qu’il chante tant du point de vue vocal que sur le plan scénique. L'effet sur le public est irrésistible dans les scènes du poète ivre aussi bien que dans l’air du Sommeil, de l'Hiver ou de l'Hymen dont les couleurs inspirent le choeur qui lui répond en conclusion de l'oeuvre : "See, see I obey", auquel obéit en effet le public, en applaudissant.»
kurt weill : les 7 péchés capitaux
Opéra de Tours
27 avril 2019
Classiquenews - 28/04/19 - Alexandre Pham
«Le rêve et l’idéal tant défendus relèvent peu a peu du cauchemar mais aussi dans le spectacle, dévoile l’hypocrisie bien pensante qu’incarne à la façon d’un choeur répétitif, scandant chaque tableau des péchés (« Seigneur illumine tes fidèles, mène-les vers la prospérité »), les 4 membres de la famille. Impeccable en ce sens la mère du même Frédéric Caton : il/elle brandit le crucifix pour mieux envelopper ses turpitudes de mère proxénète.»
Requiem de mozart
Arsenal de Metz
Octobre 2018
ResMusica - 09/10/2018 - Dominique Adrian
«Il bénéficie en outre d’un bon quatuor de solistes, nettement dominé par les voix masculines de Sébastien Droy et Frédéric Caton, énergiques et expressifs.»
PElleas et melisande
Saint-Bruno-de-Montarville
Juin 2018
Le Devoir - Juillet 2018 - Christophe Huss
«La distribution était complétée par l’Arkel noble et très digne de Frédéric Caton»
ForumOpera - Juin 2018 - Maurice Salles
«C’est aussi le choix de Frédéric Caton, dont l’Arkel impressionne, tant par la profondeur et la projection de la voix, qui donne l’impression de passer sans forcer, que par la justesse de ton qui lui permet de lancer « Si j’étais Dieu… » en gommant totalement la grandiloquence latente.»
les pêcheurs de perles
Tournée
2018
Olyrix - Avril 2018 - Pierre Géraudie
«La performance de la basse Frédéric Caton en Nourabad est également à saluer. Sur le plan vocal, d'abord, avec une voix chaude et sombre à souhait, particulièrement à l'aise dans les graves. Sur le plan scénique aussi, Frédéric Caton incarnant un grand-prêtre avec tout ce qu'il faut de froideur et d'austérité.»
Olyrix - Mai 2018 - José Pons
«Très belle présence aussi pour Frédéric Caton en Nourabad. Il donne une vraie consistance à ce personnage austère et antipathique»
Romeo et juliette
Opéra de Nice
Mars 2018
Olyrix - Mars 2018 - Florence Lethurgez
«Le chanteur basse Frédéric Caton incarne un Frère Laurent, en revanche, au legato hiératique et enveloppé de compassion christique. La voix sans faille de la loi céleste est humanisée en temps réel par le granuleux de ses longues cordes vocales, et installe, progressivement, ses graves les plus pleins.»
The Fairy Queen
Clermont-Ferrand
ForumOpera.com - 15/02/2017 - Roland Duclos
«S’y distinguait le baryton-basse chatoyant au grain moiré du poète troufion de Frédéric Caton dans un « Come let us » jovialement timbré et tonitruant. Il renchérissait en incarnant un profond Sommeil sur un « Hush, no more » à réveiller les morts, superbement repris par un choeur complice. Pas économe de ses effets, il convoquait ensuite l’Hiver d’un timbre impérieux et mordant avec un glaçant « Next Winter comes slowly ». Et notre Fregoli vocal de conclure sur un Hymen d’une palpitante séduction dans « See, see, I obey »»
Die Schöpfung
Avignon
Décembre 2016
La lettre du musicien - 12/12/2016
«Très bon musicien, la basse Frédéric Caton impressionne par son aplomb et sa puissance expressive, et délivre un vibrant «Rollend in schaümenden.»»
CD - Scylla et Glaucus
Avec les Nouveaux Caractères
29 Octobre au 04 Novembre 2014
Forum Opéra - 28/12/2015 - Laurent BURY
«Frédéric Caton nous procure le bonheur d’entendre une vraie basse, aux graves noirs à souhait. »
Le Nozze di Figaro
Théâtre Impérial de Compiègne
Opéra Magazine - Décembre 2015 - Thierry Guyenne
«Frédéric Caton, dont l'excellente basse évite toute caricature.»
Xerse
Opéra de Lille
Forum Opéra - 02/10/2015 - Bernard Schreuders
«Le sens de la déclamation qu'elle (Emmanuelle de Negri) partage avec Frédéric Caton – l’autorité qu’il confère à Aristone, le père nourricier et l’écuyer d’Amastre, quand ce n’est pas son timbre, évoque le souvenir prégnant de Nicolas Rivenq –, constitue un atout inestimable quand il s’agit de rythmer et d’innerver le recitar cantando.»
Dialogues des Carmélites
Angers-Nantes Opéra
Novembre 2013
Concertclassic.com - 19/11/2013 - Jean-Charles Hoffelé
«Les hommes sont parfaits : impeccable Marquis de la Force selon le toujours excellent Frédéric Caton.»
Forumopera.com - 15/10/2013 - Tania Bracq
«On a toujours plaisir à retrouver Frédéric Caton, habitué de l’opéra de Nantes, qui campe un Marquis de la Force à l'assise royale.»
CD - Phaéton - Les Talens lyriques
Label Aparté
Novembre 2013
Voix des Arts - 12/12/2013 - Joseph Newsome
«Bass-baritone Frédéric Caton is enlisted for triple duty as Mérops (King regnant of Egypt), Automne (Autumn), and Jupiter. An experienced presence in performances of French Baroque music, Mr. Caton brings to each of his rôles in Phaéton vibrant tones matched by insightful delivery of text. His portrayal of Jupiter is suitably grandiose, and his singing of Mérops is unassailably and slightly bemusedly regal.»
Télérama - 13/11/2013 - Gilles Macassar
«Les rôles masculins dominent le plateau.»
La Traviata
Opéra de St Etienne
Mars 2013
Opéra Magazine - Mai 2013 - Patrice Henriot
«Frédéric Caton [s'implique] efficacement dans la machine infernale.»
Classiquenews - 28/03/2013 - Nicolas Grienenberger
«Parmi des seconds rôles bien tenus, on notera le Docteur Grenvil percutant de Frédéric Caton, présence inquiétante et rassurante à la fois.»
Anaclase - 15/03/2013 - La Dévoyée - Gérard Corneloup
«[Le rôle] du Médecin dans lequel Frédéric Caton associe solide assurance vocale et belle présence scénique.»
Forum Opéra - 13/03/2013 - Avec le chœur - Fabrice Malkani
« Frédéric Caton campe un médecin convaincant dans son fatalisme.»
The Fairy Queen
Lyon
Décembre 2011
ODB - 24/12/2011 - Pierre Tricou
«Une mention particulière est à attribuer à Frédéric Caton, le poète aux yeux bandés, le Sommeil, l'Hiver et Hymen (Purcell), voix profonde et puissante.»
Lyon Newsletter - Décembre 2011 - Patrick Favre-Tissot
«Côté messieurs, la basse Frédéric Caton se hisse au premier rang par la beauté du timbre et du phrasé.»
Les Huguenots
Théâtre de la Monnaie (Bruxelles)
Juin 2011
Teatro.org - 28/06/2011 - La Croce come arma - Mirko Bertolini
«Tra i moltissimi comprimari citiamo per la buona esecuzione : [...] Frédéric Caton (Méru).»
Webthea.com - 14/06/2011 - Résurrection en apothéose
«Jérôme Varnier, Avi Klemberg, Frédéric Caton, Marc Labonnette : au total vingt-six rôles secondaires, tous de belle tenue.»
L'Enfance du Christ
Auditoriumde Lyon
Décembre 2010
Resmusica - 21/12/2010 - Le Berlioz intérieur de Serge Baudo - Arnaud Buissonin
«Frédéric Caton, Olivier Naveau et Svetli Chaumien sont eux aussi remarquables.»
L'Amour des Trois Oranges
Opéra de Dijon
Mai 2010
Opéra Magazine - Juin 2010 - Dijon - L'Amour des Trois Oranges - Jacques Doucelin
«Excellents Frédéric Caton et Laurent Alvaro.»
Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny
Angers-Nantes Opéra et Opéra de Lille
Mars-Avril 2009
Resmusica.com - 24/02/2009 - [Nantes] Autopsie de la décadence - Vincent Deloge
«Frédéric Caton, enfin, campe subtilement Bill, qui a le sens de l'amitié mais plus encore celui de l'argent.»
Classicnews.com - 22/02/2009 - Agonie de Mahagonny - Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny à Nantes - Alexandre Pham
«La lecture illustrative des metteurs en scène qui rétablit la violence et la barbarie de chaque tableau, -en s'écartant de toute anecdote creuse-, se révèle efficace et juste, en particulier dans la restitution des caractères: [...] bonté complice de Joe (sûreté de Frédéric Caton)... chacun apporte sa pierre à l'examen collectif.»