Olyrix.com   -   30/08/21

"Déjà résonnent au loin les vocalises du chanteur lyrique François Rougier, qui vont du grave au suraigu et accélèrent en mouvements chromatiques jusqu’à dévoiler l'un des plus fameux thêmes virtuoses au monde :  Le Vol du Bourdon  de Rimski-Korsakov. Le simple fait que ce thême synonyme de virtuosité effrénée et vertigineuse ait été confié а un chanteur, est un hommage rendu а son endurance articulatoire qui conserve justesse et précision dans des élans immenses. D'autant plus que la danseuse Ghislaine Louveau le projette et le soulève (et le déshabille), le chanteur assumant aussi une part de comique physique pour ce bourdon."

Olyrix.com -   23/08/21  -  José Pons

"Le ravissement émane de la prestation des deux ténors incarnant Iopas (Julien Dran) et Hylas (François Rougier).  (...)    La longue chanson d’Hylas à l’acte IV prend toute sa mesure avec l’interprétation très inspirée de  François Rougier, dont la voix de ténor aux accents mesurés et d’une extrême expressivité touche droit au cœur. "

Forumopera.com  -   26/08/21   -   Yvan Beuvard

"Hylas, le jeune matelot phrygien, est confié à François Rougier. Il donne à sa chanson, qui ouvre le dernier acte, cette simplicité juvénile et cette justesse expressive propre à chaque couplet."

Anaclase.Com  -   F.J.
​"Les deux ténors Julien Dran (Iopas) et François Rougier (Hylas) enchantent aussi par leurs douces interventions, un moment de pure poésie délivré parfois en voix mixte par le premier au cours de l’air  Ô blonde Cérès  et une merveille de tendre mélancolie,  Vallon sonore  chanté d’un ferme instrument par le second en début de dernier acte."

Concertclassic.com   -   Laurent Bury
​"Julien Dran et François Rougier redoublent de raffinement pour leurs airs respectifs."

Resmusica.com   -   Michèle Tosi
​"Julien Dran (Iopas) soutient avec bravoure son air du IV (« ô blonde Cérès ») tout comme François Rougier dans la chanson triste du jeune matelot Hylas au début du V. "

Concertonet   -   Philippe Manoli

"François Rougier fascine dans une Chanson d’Hylas dans laquelle sa voix mixte et ses diminuendi font fondre le public. "

Olyrix.com -   04/04/21 - José Pons

"La voix de ténor fine et délicate de François Rougier répond en pleine concordance à la voix puissante et sonore de basse de Patrick Bolleire."

Forumopera   -   Guillaume Saintagne

"François Rougier et Patrick Bolleire ouvrent le bal avec entrain et un français impeccable"

ResMusica -   Patrice Imbaud

"Dans les rôles secondaires François Rougier et Patrick Bolleire ne déméritent pas, rappelant dans la veine comique le duo savoureux Bardolfo et Pistola du Falstaff de Verdi créé la même année 1893."

Concertclassic   -   Alain Cochard

"Dans les rôles secondaires, on ne peut que saluer Anaïs Constant pour son beau Lampito, tout comme François Rougier (Cynalopex) et Patrick Bolleire (Agoragine, Le Héraut), savoureux l’un et l’autre."

Olyrix  -   Damien Dutilleul

"En Cynalopex,  François Rougie r expose une voix mate au grain chaud"

Olyrix.com   -   26/03/21   -   Pierre Géraudie

"François Rougier parvient à faire entendre une voix de ténor émise avec assurance, faisant en outre montre d'une réelle aisance scénique."

Olyrix.com -   15/01/2021

"François Rougier et Jodie Devos   interprètent ensuite le duo amoureux "Ange adorable" (toujours  Roméo et Juliette   de Gounod) avec un lyrisme aussi touchant que travaillé. Le ténor conserve une articulation modèle et sait intensifier son propos amoureux sans tension. La soprano met sa fraîcheur vocale au service de la pureté éclatante de ce personnage."

Forumopera.com -  18/01/20 - Tania Bracq

"François Rougier, Nicholas Isherwood  et surtout  Yael Raanan-Vandor  complètent la distribution vocale avec autant d’intensité que de précision"

Opéra online -  11/12/2019 -  Elodie Martinez

« À ses côtés, François Rougier  est un Piquillo tout aussi lumineux avec sa ligne de chant claire, ainsi que ses intonations précises et justes. Il est un ténor cinq étoiles pour ce rôle »  

Ôlyrix -   20/12/2019 - Claire de Oliveira

« Le ténor François Rougier montre toute son aisance en Piquillo [...] avec un legato et des ports de voix langoureux    [...]  Le public se délecte de sa voix suave et de son sens des nuances. » 

Le Soir - 23/12/2019 -  Serge Martin

«Le Piquillo de François Rougier témoigne d’une belle assurance.» 

ODB - 17/12/2019 -  Loïs

«Le triomphateur de la soirée sera pourtant Piquillo. On craignait le retrait de Barbeyrac mais Rougier balaie tout regret : il est Piquillo par l’exact format vocal et la parfaite maitrise stylistique et interprétative de ce répertoire : sa jouissance est totalement partagée. De plus certainement motivé par la volonté de faire sa place, il ne lésine pas sur les aigus rajoutés (y compris lors du bis aux saluts) et comment s’en plaindre devant une telle aisance ? » 

Baroquiades.com  - 17/12/20 -   Jacques Duffourg

"François Rougier   (Vergy) déploie avec panache son beau ténor lyrique"

Forumopera.com - 23/03/20 - Claire-Marie Caussin

"Face à elle, le Vergy de François Rougier possède une jolie voix, une belle ligne de chant, une diction claire, et campe une sœur Anne outrancière à souhait."

ResMusika  - 28/11/2019 -  Charlotte Saulneron

« Son amant Vergy, en la personne de François Rougier, donne la réplique avec une compréhension musicale  et dramatique indéniable de cet ouvrage pourtant rare. » 

Gramophone -  02/2020 -  Richard Wigmore

"As Vergy, François Rougier fields an attractive high, light tenor and acts well with the voice."

Musicweb-international.com -  Mike Parr

"François Rougier as Vergy offers a well sung and at times gently humorous portrayal particularly as he has to spend much of Act 2 and 3 in drag. His vocal line is assured and delivered with élan. He thankfully resists the temptation to veer into excessive mugging for the drag portions of the opera."

Classiquenews - 02/11/2019 - Alban Deags

« Très présent et vocalement coloré  François Rougier . » 

Ôlyrix - 29/08/19 -  José Pons

«Boris Grappe  s’empare du rôle de Panthée et  François Rougier  de celui d’Hélénus avec leur talent et leur solidité habituels.» 

Backtrack.com -   26/07/19 -  Tristan Labouret

"Dans la litanie inégale des seconds rôles, (...) deux ténors se distinguent : François Rougier rayonne dans les brefs rôles du Berger et du Barde tandis qu’Éric Huchet (Lennsmor) mène vaillamment le Conseil des chefs celtes."

Ôlyrix -  27/07/19 -  José Pons

«François Rougier (2ème paysan, Le Berger, Le Barde) fait valoir une voix de ténor assise, d’une  efficace projection jusque  dans l’aigu.» 

Toute la culture -  Gilles Charlassier -  06/19

« Anne-Catherine Gillet se montre idéale en Suzanne,  palpitante de juvénilité et de sentiment, face au Boispréau de François Rougier,  lequel trouve un rôle où s’expriment ses moyens de comédien autant que l’éclat  souple de sa voix.  » 

TopAudio -  Jean-Pierre Robert -  24/06/19

« François Rougier, issu de l'Académie de l'Opéra Comique, fait  montre d'un bel humour et ravit par un timbre avenant qu'il conduit en voix de tête  jusque dans les aigus à la Rossini dont est truffée la tyrolienne du dernier acte.» 

Classique c'est cool - Huges Rameau-Crays - juin 2019

«François Rougier est la révélation du spectacle et confirme une fois de plus le talent de l’institution parisienne pour dénicher les ténors.» 

Opera-Online - Thibault Vicq  - 22/06/19 

«François Rougier (Hector de Boispréau) émet un légato de compétition, des vocalises tyroliennes aériennes et un climat de complétude musicale.»

Diapason magazine -  Emmanuel Dupuy - juin 2019

«Le Boispréau d'un François Rougier projetant loin l'éclat de son clair ténor.»

Bachtrack -  Jean-Marc Piriou - juin 2019

«François Rougier, dont les aigus conquérants, superbement projetés, font merveille, en particulier dans le duo des Tyroliens à l’acte III.»

Le Monde -  Marie-Aude Roux - juin 2019

«Hector, campé par le fier ténor François Rougier, dont le priapisme vocal grimpe sans mal à la corde d’une tyrolienne.»

Libération - Guillaume Tion -  juin 2019

«François Rougier, avec lequel Lebègue forme au final un couple de « tyroliens de naissance » lancé dans des yodelisations imparables.»

 Télérama -  Sophie Bourdais - juin 2019

«Le piquant Hector de François Rougier.»

Les Échos -  Philippe Venturini - juin 2019

«François Rougier, un Boispréau dynamique.»

Ôlyrix -  Damien Dutilleul - juin 2019

«François Rougier s’amuse dans le rôle d’Hector, auquel il prête une voix au timbre fleuri, au grain chaud, à l’aigu aisé (qui monte haut dans le duo tyrolien). »

L’avant-scène opéra -  Chantal Cazaux - juin 2019

«François Rougier, impayable dans sa tyrolienne aux aigus alpins.»

Amadeus -  Emilio Sala - juin 2019

«L’esilarante tyrolienne nella quale il tenore François Rougier ha esibito una performance memorabile (con dei sovracuti in falsetto spassosissimi)»

Bachtrack -  18/11/2018  -   Laura Servidei

«Isaure’s lover, Vergi, was François Rougier, whose very high and natural tenor was very suited to the part, and his elegance in closing every single musical phrase was remarkable.»

Forumopera.com -  14/11/2018 -  Laurent Bury

«Passant de Tintin à Mary Poppins dans les tenues que lui impose le spectacle,  François Rougier  assure sans difficulté le rôle de Vergi.» 

Thoroughly Good Blog  -  16/11/2018  -   Jon Jacob

«Chantal Santon-Jeffery as Isaure and Francois Rougier as Vergi led the company with conviction.»

Olyrix  -  29/09/2018  -  Damien Dutilleul

«François Rougier,  en Cossé, livre une voix de ténor émise assez haute. Le timbre est sémillant et largement projeté dans un phrasé travaillé.»

La Revue du spectacle  - 08/10/2018  -  Christine Ducq  

«François Rougier et Patrick Bolleire  prouvent encore une fois qu'on ne peut guère être plus talentueux.»

Olyrix - Mai 2018 -  Damien Dutilleul

«François Rougier voit son rôle d’Abdallo prendre de l’épaisseur, ce qui tombe bien car il offre  une (courte) performance vocale de  grande qualité, grâce à un beau timbre fleuri et une  diction précise.»

ForumOpéra - Mai 2018 -  Yannick Boussaert

«Jennifer   Courcier   (Anna)  ou François Rougier (Abdallo) imposent leur personnage dès leur première (...)    intervention.»

Le Monde - Mars 2018  -  Pierre Gervasoni

«François Rougier, Juliano pur miel.»

La Croix  - Mars 2018 -  Emmanuelle Giuliani

«François Rougier, Juliano plein de panache.»

Les Echos  - Mars 2018 -  Philippe Venturini

«Le Juliano sarcastique de François Rougier.»

Diapason -   Mars 2018 -  Emmanuel Dupuy

«Le Juliano de François Rougier a du caractère.»

Le Figaro - Mars 2018 - Christian Merlin

«François Rougier et Antoinette Dennefeld maîtrisent comme rarement le passage si délicat du parlé au chanté»

Opéra magazine - Mars 2018 -  Michel Parouty 

«François Rougier, ténor percutant, est un Juliano virevoltant»

Toutelaculture.com - Mars 2018 -  Victoria Okawa 

«Un naturel surprenant chez François Rougier, qui montre une belle cohérence et une continuité absolue entre le chant et la parole.»

Forum Opéra - Mars 2018 -  Antoine Brunetto

«Le ténor bien projeté de François  Rougier (Juliano) ressort bien dans les ensembles du deuxième acte.»

Culture Box - Mars 2018 -  Lorenzo Ciavarini Azzi

«Très efficaces dans leurs rôles également les ténors Cyrille Dubois  (Horace) et François Rougier (Juliano)»

Olyrix  - Mars 2018 -  José Pons

«Le ténor François Rougier  campe un Juliano, ami fidèle d’Horace, franc et sonore.»

BoxOlyrix - Février 2018 -  Damien Dutilleul

«Le Comte Juliano de François Rougier fanfaronne fièrement, costumé en paon. Sa voix au  sombre ténor et au timbre cuivré dégage une belle énergie.»

Olyrix - 20/11/17 - Adrien Alix

«le ténor François Rougier   (à retrouver dans le Domino Noir), que l’on est tenté d’identifier à l’Évangéliste de cette passion moderne, se lance-t-il dans l’air « Ich will bei meinem Jesu wachen » (je veux veiller auprès de mon Jésus) de la  Passion selon Saint Matthieu. Son aisance et la souplesse de sa voix témoignent de sa familiarité avec la musique de Bach...»

Classique c'est cool -  12/04/2019 -  Hugues Rameau-Crays

«Les rôles secondaires ont été opportunément distribués à des chanteurs francophones parmi lesquels on remarque tout particulièrement le joliment chantant Boris Grappe, virevoltant Dancaïre et François Rougier impeccable Remendado.»

Ôlyrix - 10/04/2019 -  Stéphane Lelièvre

«Les seconds rôles ont également été distribués avec soin. Jean-Luc Ballestra  (Moralès), François Rougier   (le Remendado) et Boris Grappe  (le Dancaïre) se distinguent par leur  émission haute, claire et un français pleinement intelligible.»

Charles Arden - Olyrix :

«Le Dancaïre Boris Grappe et Le Remendado François Rougier incarnent deux contrebandiers dont les voix assurées et placées se marient avec deux bohémiennes éblouissantes.»

Sophie Bourdais - Télérama

«François Lis (Zuniga), Jean-Luc Ballestra (Moralès), Vannina Santoni (Frasquita), Antoinette Dennefeld (Mercédès), François Rougier (le Remendado) et Boris Grappe (le Dancaïre) composent une réjouissante galerie de personnages hauts en couleurs.»

Steeve Boscardin - Resmusica

«La distribution des seconds rôles a été particulièrement soignée ce qui est heureux car beaucoup de la réussite du spectacle repose sur leurs épaules : Zuniga impressionnant et charismatique de François Lis, beau Moralès stylé et précis de Jean-Luc Ballestra, lyriques et pétillantes Frasquita et Mercédès de Vannina Santoni et d’Antoinette Dennefeld, et pour finir Dancaïre et Remendado très assurés de Boris Grappe et François Rougier.»

Hélène Kuttner - artistikrezo.com

«L’Escamillo de Roberto Tagliavini, le Dancaïre de Boris Grappe, le Remendado de François Rougier, François Lis (Zuniga), Moralès (Jean-Luc Ballestra) et Lillas Pastia (Alain Azérot) ravissent le spectateur par leur talent vocal et scénique.»

Magazine Opéra - Juillet-août 2015 - Michel Parousy

«François Rougier,  ténor au milieu de couleurs masculines graves, est parfait en Gratiano.»

ConcertClassic.com - 30/06/2015 - Alain Cochard

«Aux qualités vocales s'ajoute une remarquable présence scénique  pour Gratiano, bien  campé par François Rougier.  »

ConcertoNet.com - 19/06/2015 - Gilles Charlassier

«François Rougier incarne un Gratiano savoureux.»

Crescendo-magazine.be - 11/06/2015 - Paul-André Demierre

«Le couple constitué par Isabelle Druet (Nérissa) - François Rougier (Gratiano) [...] complète admirablement la distribution d'un opéra dont on souhaite régulièrement le retour à l'affiche.»

ResMusica - 05/06/2015 - Cyrille Cauvet

«Le deuxième couple, Nérissa (Isabelle Druet) et Gratiano (François Rougier) se distingue du précédent par des timbres plus sombrés.»

Forum Opéra - 29/05/2015 - Laurent Bury

«François Rougier, très virevoltant et éloquent.»

La Tribune - Le Progèrs - 28/05/2015 - Martine Goubatian

«Frédéric Goncalvès dans Antonio, Guillaume Andrieux Bassanio et François Rougier Gratiano complètent cette brillante distribution.»

Financial Times -   Francis Carlin  

«François Rougier's whining Cassim and Philippe Talbot's exhuberant Zizi are simply tailor-made for this repertoire.»

Classiquenews.com -   Nicolas Grienberger

«Le Cassim de François Rougier, impeccable et hilarant.»

La Lettre du Musicien -   Clément Rochefort

«A l'aise et crédible dans les scènes parlées, Sophie Marin-Degor a une maîtrise naturelle du genre opéra-comique si difficile pour les non francophones. Une accointance avec le genre partagée par François Rougier, le seul réellement drôle en Cassim, le cousin nouveau riche d'Ali Baba.»

A,-M Ch., La dépêche du midi

«La distribution est dominée par le baryton Marc Scoffoni et le ténor François Rougier, interprètes des deux amis Octave et Coelio. On aime leur engagement scénique, la sincérité de leurs incarnations, la clarté de leur diction.»

Vincent Deloge - Resmusica

«François Rougier se révèle très convaincant en campant un Coelio torturé à l'aigu facile.»

Jocelyne de Nicola - www.gbopera.it 

«François Rougier incarne ce jeune homme amoureux, sensible, romantique et mélancolique, pris entre son drame intérieur et le badinage qu’il ne comprend pas.  Il chante avec sensibilité, prenant les notes avec délicatesse. Il est émouvant dans ce rôle, comme en retrait dans un monde étranger.»

 La Lettre du Musicien -   20/10/2014  -  Clément Rochefort 

«Un Cœlio tout en finesse de François Rougier, ténor qui s’était déjà distingué dans Ali Baba de Lecocq à l’Opéra-Comique en mai.»

Classiquenews.com -   Nicolas Grienberger

«Toujours à sa place dans le répertoire français, François Rougier incarne excellemment ce personnage misanthrope qu'est Guido, grâce à son émission claire et percutante.»

Concertclassic.com -   Alain Cochard

«Parfait Fritz dans La Grande Duchesse des Brigands en fin d'année passée, François Rougier campe avec tact un Guido misanthrope, taciturne et attachant.»

Les Echos -   Philippe Venturini

«François Rougier fait entendre un élégant style français en Guido.»

Diapason -   Michel Parouty

«François Rougier, solide voix de ténor, campe un Fritz aussi à l'aise dans le charme que dans l'humour.»

Le Monde – Pierre Gervasoni

«En tête de distribution, Isabelle Druet campe une Grande-Duchesse conforme à l'ambivalence du parti d'ensemble.  […] Interprète d'avenir, François Rougier ne lui cède en rien dans la bouffonnerie.»

La Croix – Bruno Serrou

«François Rougier campe un Fritz savoureux.»

Les Echos – Philippe Venturini

«Le ténor François Rougier compose un savoureux Fritz et fait valoir un beau style de chant français.» 

La lettre du musicien – Décembre 2013 – Clément Rochefort

«Isabelle Druet incarne une Grande-Duchesse parfaite dans son rôle d’omnipotente capricieuse aux allures de cantinière, aux côtés du Fritz délicieusement bébête de François Rougier.»

Classiquemaispashasbeen.com

«Paulus révèle un superbe François Rougier  […]. Françoise Mondet-Martinaud, Bernard Causse et François Rougier étaient brillamment engagés et précis. L'accord entre les voix du baryton et du ténor a donné des duos d'une grande beauté. On suivra de près le ténor François Rougier dont la Cavatine «Sois fidèle jusque dans la mort» fut un délice.» 

Forumopera.com

«A une seule voix féminine, Sandrine Buendia, exquise Jacqueline chez Messager, se joignait toute une palette de voix masculines, depuis les graves impressionnants du bel Arkel campé par Geoffroy Buffière, jusqu'au superbe ténor de François Rougier, admirable en Julien de Charpentier comme en Alain de Grisélidis, en passant par le baryton de Ronan Debois, réjouissant Clavaroche.» 

Chanteur.net -   Alain Zürcher 

«François Rougier comme Sandrine Buendia font entendre un style et une diction française d'une clarté remarquable. »

Classiquenews.com

«Le ténor François Rougier dans le rôle du Prince Charmant est tout à fait... charmant, avec une certaine exubérance juvénile qui se marie très bien avec la musique pleine d'humour, notamment dans les moments d'inspiration mélodique espagnole.» 

Carnets sur sol -  David Le Marrec

«François Rougier s'épanouit avec un aplomb remarquable dans le rôle du Prince, l'aigu étant lancé avec une sûreté admirable et une couleur parfaitement maîtrisée.»

Diapason

«Emmanuelle Goizé, Lara Neumann, François Rougier et Loïc Boissier rivalisent de dons comiques et d'énergie vocale.»

Bruno Serrou, La Croix

«Lara Neumann est une inénarrable écervelée, François Rougier un savoureux insouciant, et Loïc Boissier un joyeux déjanté.»

Froggydelight.com

«La pétulante Lara Neumann est irrésistible en princesse volontaire et en mère virevoltante face à François Rougier excellent en amoureux comme en mari tyran.»

Regardencoulisse.com

«François Rougier fait entendre une solide voix de ténor.» 

 La tribune -  Pascale Besses-Boumard

«Des chanteurs convaincants, comme François Rougier dans le rôle du chevalier transi de la servante, dont la voix est bien posée et le timbre naturellement chaleureux.»

Appogiature.net -  Jacques Duffourg

«Le Cecco de François Rougier, aussi bon comédien que tenore lirico accompli, timbre intéressant, vocalité sûre et nuances à gogo - prestance et conviction.»

Odb-opera.com

«François Rougier, finaud et rigolard, incarne avec aplomb et gouaille un personnage qui n'en rate pas une miette.»

Anaclase.com

«François Rougier (Cecco) se révèle un ténor tendrement incisif, aux piani délicats.» 

Resmusica.com

«A la recherche du prologue perdu, Les Nouveaux Caractères nous restituent en musique ce qu'il aurait pu être, avec l'ouverture sur la suite d'Abdelazer, version placée sous le signe de la spontanéité et du naturel dans un jeu qui brise la glace entre musiciens et spectateurs. Puis, cette énergie créée rencontre l'émotion pure dans le très touchant Music for a While, interprété avec grande sensibilité par François Rougier.» 

Opéra Magazine

«François Rougier sera parfait pour le récital Massenet que Clermont-Ferrand et le Festival de la Chaise-Dieu proposeront en 2012 avec Jeff Cohen au piano. Son exécution de la mélodie L'improvisateur a révélé un musicien plein d'esprit et un fin diseur.» 

Opéra magazine n°70, -  Février 2012 

«Flannan Obé  […] fin musicien, absolument inénarable en Hermosa, emberlificotée dans ses jupes. Mais qu'il s'agisse de la Théodorine bourgeoise de Sarah Laulan, du Prince coquet de Laetitia Ithurbide, du Grand Sénéchal veule et pingre de François Rougier, ou du Roi bête et cupide de Frédéric Bang-Rouet, tous ont en commun ce soucis du bien-dire et du bien-chanter qui fait tout le sel de la représentation.»

Odb-opera.com  -   Juin 2010 

«La voix et le timbre légèrement blanchis de F. Bang-Rouhet conviennent bien à l'autoritaire mais frêle duc d'opérette, tandis que son Sénéchal (François Rougier) fait montre d'une magnifique et solide voix de ténor, alors que sa femme (Sarah Laulan) entonne avec franchise et dans l'hilarité générale son air "Je vais chercher les petites cuillères".»