il trionfo della morte

Opéra de Dijon

Novembre 2019

Classiquenews - 21/11/2019 - Jean-François Lattarico

«La voix caverneuse de Renaud Delaigue réussit le tour de force d’interpréter trois rôles en prenant soin de les distinguer vocalement (timbre plus sombre et hiératique pour Lucifer, plus mielleux et sensuel pour la Passion, plus raffiné et imposant pour Dieu). Voix admirable et magnifiquement projetée et diction impeccable qui forcent le respect.»

Baroquiades - 19/11/2019 - Pierre Benveniste

«Renaud Delaigue (basse) est un habitué des scènes d'opéra où il a interprété la plupart des grands rôles de basse des répertoires baroques et classiques. Il avait la tâche redoutable d'incarner Passion et Lucifer et de faire entendre la voix de Dieu. De sa voix superbement projetée, en particulier dans le grand air de fureur de Lucifer lors de la première partie, il montra l'étendue de sa tessiture et de superbes graves profonds. Il sut aussi s'adapter avec finesse aux exigences de ses rôles. Il adopta un ton plus solennel et majestueux quand il emprunta la voix du Dieu d'Amour de l'Ecriture. »

Ôlyrix - 17/11/2019 - Céline Wadoux

«Le duo de la Mort et de la Passion entraîne un contrepoint élégant, jouant avec le contraste des aigus du contre-ténor et des graves de la basse de   Renaud Delaigue. Ce dernier, à qui revient le rôle triple de la Passion (Senso), de Lucifer et de Dieu, module sa tessiture en fonction du personnage incarné. En Passion, il invective la Mort par des mediums justes à la forte portée. Ses aigus, aussi remarqués que les graves de Paulin Bündgen, sont bien tenus et sa souffrance se traduit par un timbre plaintif. En Lucifer, sa fureur porte, tonnant dans les graves, et les passages des mediums aux graves sont exécutés avec facilité. Renaud Delaigue ajoute à son assise vocale un jeu de scène convaincu, petit sourire en coin face à Ève, gestuelle des mains pour la persuader de croquer la pomme. En Dieu, il conserve toute sa portée et fait montre d’un timbre aux couleurs pleines de majesté.»

ForumOpera - 15/11/2019 - Yvan Beuvard

«Avant d’être Dieu (Iddio), énergique, souverain comme il se doit, Renaud Delaigue donnera sa voix à la Passion, puis à Lucifer, tous deux séducteurs en diable. Une basse comme on les aime, dont l’aisance est particulièrement impressionnante (« Furie terribili »). »

Jonas et la Tempête

Festival d'Ambronnay

Octobre 2016

Forum Opera -  01/10/2016 - Laurent Bury

«Comme souvent à l’époque, le récit principal est confié à un narrateur qui est ici une basse, le monumental Renaud Delaigue, à la voix puissante de l’aigu jusqu’à l’extrême grave, et à la diction particulièrement incisive ; on s’étonne en l’entendant que les ensembles baroques ne fassent pas plus souvent appel à lui.»

L'orfeo

Opéra de Dijon

Octobre 2016

Diapason - 03/10/2016 - Jean-Philippe Grosperrin 

« Prometteuse, la scène d'un Charon dealer (Renaud Delaigue, très convaincant) déraille : Orphée l'allume puis se jette sur lui en criant pour l'étouffer avec des billets de banque - voilà pour « la place de l'artiste dans la société»

Mauillon, un Orfeo idéal - 07/10/2016 -  Hippolyte Darissi

«Renaud Delaigue incarna de sa stature un Caron tout à fait imposant et intéressant, dealer endormi par Orfeo à l’aide d’une seringue.»

L'Italienne à Alger

Théâtre des Champs Elysées, Paris

Juin 2016

ForumOpéra.com -   09/06/2016 -   Christian Peter

« Quant à Renaud Delaigue, il capte durablement l’attention dans le seul air qui lui est dévolu au point que l’on regrette de ne pas entendre davantage son beau timbre de basse profonde. »

L'Italienne À Alger  

Atelier lyrique de Tourcoing

Mai 2016

ForumOpéra.com -   26/05/2016 -   Sans graisses ajoutées  -   Laurent Bury  

«Renaud Delaigue est un Haly qui chante avec beaucoup de sérieux son air (même s’il n’est pas forcément de Rossini) et qui finit par s’embarquer avec Zulma sur le navire des Italiens. »

Pelléas et Mélissande

Atelier lyrique de Tourcoing

19 avril  2015

Forum Opéra -   21/04/2015 -   Lakmélissande, on en redemande -   Laurent Bury

«Renaud Delaigue étonne par […] de superbes couleurs dans le grave.»

Opéra Magazine - Juin 2015 - Michel Parouty

« Renaud Delaigue est un digne Arkel »

Aleko

Opéra-Théâtre de Clermont-Ferrand

18 décembre 2014

Forum Opera - 18/12/2014 - Roland Duclos

«Enfin la basse Renaud Delaigue confirme en Vieux Tzigane la noblesse et le mordant d'une projection sincère et chaleureuse.»

La Pellegrina

Grand-Théâtre de Dijon

1er février 2014

Musicologie.org  - 02/02/2014 - Let's make La Pellegrina - Eusebius

«Les chanteurs sont le plus souvent d'excellents comédiens, lorsqu'ils ne sont pas des comédiens nés. Ainsi Renaud Delaigue (Bardi), basse puissante, au chant et à l'articulation exemplaire, dont le jeu enthousiasme.»

Forum Opera  - 04/02/2014 - La Pellegrina, une fête florentine à Dijon -  Yvan Beuvard

«Renaud Delaigue, splendide basse, est un comédien né et campe un Giovanni de Bardi qui nous ravit.»

CD - TUNES OF SAD DESPAIRE 

CD

 2013

Musicframes - 16/05/2013 -  Mattie Poels 

«[...] A few pieces are duets, sung by Visse and bass Renaud Delaigue, a French singer who wonderfull mix with Visse’s timbre.  »

klassic.com. - 13/02/2013 -  Andreas Falentin

«Höhepunkt der CD aber sind die drei Duette von Dominique Visse mit dem französischen Bassisten Renaud Delaigue. Im zweistimmigen Satz mischen sich die Stimmen geradezu magisch, zumal Delaigue über eine selten schöne Stimme verfügt, die er überaus kultiviert und unaffektiert führt.»

Tannhäuser

Clermont-Ferrand

novembre 2013

Opéra Magazine – Janvier 2014 – Vincent Borel

« […]Quand à Renaud Delaigue, il impose un Landgrave à la splendide autorité.[…] »

Concert A corps et à cris avec l'Ensemble Clément Janequin  

Péniche Opéra (Paris)

 avril 2012

On-Mag – 03/04/2012 – Yvette Canal

L'Ensemble Clément Janequin, c'est cinq voix masculines (une basse, remarquable d'ailleurs (Renaud Delaigue), un baryton (François Fauché), deux ténors (Vincent Bouchot et Hugues Primard) et le célèbre contre-ténor Dominique Visse + une pianiste, Véronique Briel et une organiste joueuse d'épinette, Elisabeth Geiger. Le spectacle n'appartient à aucune catégorie habituelle de concert, puisqu'il mêle aussi bien musique ancienne que contemporaine avec de la variété, de la parodie ou de la chanson détournée, ainsi que des projections visuelles d'interviews, tout cela sur le cri. [...] Au total, ce concert-spectacle, qui reprend des morceaux de spectacles précédemment chantés par ce même ensemble a gagné en diversité et fait passer une excellente soirée, sans jamais en baisser le niveau. Le public s'est régalé.

L'Enfance du Christ

Auditorium de Lyon

décembre 2010
Resmusica – 21/12/2010 – Le Berlioz intérieur de Serge Baudo – Arnaud Buissonin
« [...] Quant à Renaud Delaigue, il offre un superbe air d'Hérode avec une belle une voix de basse projetée sans peine jusqu'au dernier balcon [...] »

Carmen

Opéra de Lille et Théâtre de Caen

mai, juin, octobre 2010
Concerto.net – 05/11/2010 – Pari Gagné – Sébastien Foucart
« [...] La réussite d'une distribution repose également sur les rôles secondaires, tous tenus sans faiblesse par de jeunes artistes, à commencer par le fier Zuniga de Renaud Delaigue [...] »

KLEINE GEISTLICHE KONZERTE de Schütz

Cathédrale St Etienne de Toulouse

15/10/2009
Resmusica – 20/10/2009 – Une Musique pour l'âme – Hubert Stoecklin

« [...] La deuxième partie du programme, plus théâtralisée, a débuté par une imploration bouleversante de Renaud Delaigue qui a nuancé et phrasé de manière troublante son cri Absalon avec sa très belle voix de basse profonde, nous gratifiant de nuances profondément creusées. [...] »

Classic Toulouse – 15/10/2009 – Les Splendeurs de Schütz – Robert Pénavayre
« [...] l'incroyable beauté de timbre de l'authentique basse profonde Renaud Delaigue, timbre d'une noirceur rarissime. Outre cette qualité purement sonore, Renaud Delaigue déploie dans ses interventions une éloquence et une subtilité impressionnantes. Son « Fili me Absalon » restera dans les mémoires pour l'émotion qu'il suscite. Bouleversant cri de douleur, chagrin du père meurtri par la mort du fils [...] »

CD - Domenico Mazzocchi : Madrigali e Dialoghi

CD

Octobre 2007

Opera  Today - 22/10/2007 - Tom Moore

«Particular applause must go to the excellent bass singing of Renaud Dalaigue, who carries off deep and florid parts (not an easy combination!) with great panache. »

Don Giovanni

Atelier lyrique de Tourcoing

Décembre 2006

ConcertoNet.com -   12/01/2006  -    Manon Ardouin 

«Renaud Delaigue est un Commandeur plein d’autorité et de fermeté : il possède les graves nécessaires pour apporter une réelle dimension au personnage. Le duo Don Giovanni- Commandeur au début du premier acte est magnifique : les deux chanteurs semblent faire abstraction du chef d’orchestre et chantent à leur tempo (lent et retenu) en rendant ce passage particulièrement poignant et solennel. [...] Il campe aussi le rôle de Masetto avec une certaine classe qui dépasse celle exigée par le personnage de paysan. Il met sa belle voix profonde au service de Mozart par un “Ho capito” subtil qui souligne bien le désespoir et la colère de Masetto: les “insultes” à Zerlina sont menaçantes et presque criées. » 

IL BARBIERE DI SIVIGLIA

Opéra de Lille

 juin 2005
Resmusica – 02/06/2005 – Double réussite – Richard Letawe
« [...] Avec ses graves impressionnants et son timbre noir charbon, Renaud Delaigue est un Basilio peu commun, menaçant et cauteleux, et il fait de son air de la calomnie plus qu'un « tube » archi-connu que tout le monde attend, mais un vrai moment dramatique [...] »