Orphée aux multiples visages

Musée d'Orsay

Novembre 2019

Olyrix - 28/11/2019 -  Marie Antunes Serra

« Avec maîtrise et énergie, cette dernière guide l’ensemble » 

cd - de biber a tanguy

CD de Biber à Tanguy

2010

Répertoire - 2010

« Incontestablement, Stéphanie–Marie Degand est une violoniste de grand talent dans la virtuosité extrême (et extrêmement précise) des Caprices de Paganini comme dans les architectures complexes de la Passacaille de Biber ou de la Chaconne de Bach.»

wigmore hall avec le king's consort

Wigmore Hall

2010

The Independant - 2008 - Annette Morreau

« (...) une performance remarquable de Stéphanie-Marie Degand tout au long de la soirée. Le jeu de Degand est ce qui m’a le plus marqué. Chaque note était un ovale parfait, chaque phrase était jouée de manière stylisée, radieuse, passionnante. Cette jeune femme a tout : vivacité, autorité, intelligence, un son magnifique et une grande musicalité, et c’était un immense bonheur de l’entendre. » 

The Times - 2008 - Geoff Brown

« Le violon de Stéphanie-Marie Degand était également un bonheur : élégant mais passionné, insufflant de l’énergie dans le contrepoint. »

Op 105 &121,3 ROMANCE OP.94 DE ROBERT SCHUMANN

CD Sonates Pour Violon & Piano

2008

Diapason - 2008 - Jean Cabourg

« Difficile de résister au charme de cette sirène émergée du Concert d’Astrée, dont elle fut le violon solo et demeure une figure de proue. Surtout quand ce Genaro Gagliano 1756 monté façon Paganini vibre sous les doigts avec autant de passion. Le Schumann des sonates hanté par la noirceur de l’alto et porté à solliciter la quatrième corde du violon à proportion de ses angoisses,
Stéphanie-Marie Degand en traduit toute la sombre énergie. Une technique éblouissante lui autorise des audaces juvéniles dont elle parvient à maîtriser au mieux les risques. La jeune virtuose sait pouvoir compter sur la pertinence et l’élan de son partenaire schumannien émérite. Alors oui, vous citerez Ferras, Kremer, Szeryng, Francescatti et Menuhin »

Le Monde de la  Musique - 2008 - Patrick Szernovicz

« Jouant sur un magnifique violon de Gennaro Gagliano (Naples 1756) monté de façon romantique (...), Stéphanie-Marie Degand traduit avec autant de densité que de poésie le dialogue véhément et tourmenté des deux sonates. Son style impeccable, sa technique sûre et ses phrasés imaginatifs autant que vigoureusement dessinés varient les éclairages et traduisent à merveille les mille facettes de la Deuxième Sonate en ré mineur. »