Concert en hommage à Christiane Eda-Pierre
Amphitéâtre Bastille
3 juillet 2021
Forumopera.com - 05/07/21 - Brigitte Maroillat
"Edwin Fardini fait rutiler la puissance de sa voix grave avec une aisance de professionnel averti dans l’air d’Antenor « Monstre affreux, monstre redoutable » du Dardanus de Rameau."
Concours "Voix des Outre-Mer"
Théâtre du Châtelet
28 septembre 2020
Opéra magazine - Novembre 2020 - José Pons
"Premier nommé et déjà "Révélation Classique" de l'ADAMI, en 2019, le baryton Edwin Fardini débute une carrière prometteuse. (...) Il projette une voix large et assurée, avec une force de conviction peu commune. Imposant Anténor de Dardanus ("Monstre affreux, monstre redoutable"), il démontre une flexibilité et un sens réel de la nuance dans Deep River."
Hippolyte et Aricie
Opéra comique de Paris
14 Novembre 2020
Forumopera.com - 15/11/20 - Brigitte Maroillat
"Edwin Fardini prête une voix, souple, ronde à Tisiphone qui se fait particulièrement entendre au début de l’acte II, lorsque la furie entraîne Thésée aux enfers ."
Olyrix.com - 14/11/20
"Edwin Fardini (en costume-bretelles moderne, avec lunettes) dialogue tant vocalement que scéniquement avec ce rôle de premier ordre, rendant avec intensité ce caractère de suivant cynique, mettant en garde d'un sourire vocal sardonique (le nom de son personnage Tisiphone signifiant "Vengeance").
Black is beautiful
Auditorium du Musée d'Orsay
18 avril 2019
Classiquenews.com - 26/04/19 - Pedro Octavio Diaz
«La voix d’Edwin Fardini, quoique parfois couverte par l’orchestre dans Zemlinsky, nous a offert une myriade de couleurs surtout dans ce cycle aux difficultés stylistiques que le soliste a réussi à surmonter totalement. C’est un des talents à suivre absolument!»
Ôlyrix - 22/04/19 - Charles Arden
«À l'unisson de cette fierté naturelle et travaillée, d'une éloquence franche y compris dans l'arrondi d'un deuil endolori, le chant du baryton Edwin Fardini monte bientôt dans un volume emplissant l'Auditorium. L'excellente articulation et prosodie, avec des consonnes nettes et des voyelles intensément vibrées s'apprécie en allemand (la qualité est conservée dans la Rhapsodie de Poulenc bien qu'il s'agisse d'onomatopées en pseudo-petitnègre).»