Stéphanie-Marie Degand

dirige le Saarländisches Staatsorchester

Ce dimanche 2 avril, Stéphanie-Marie Degand est à la tête du Saarländisches Staatsorchester dans un programme riche et alléchant : 

Wilhelm Friedemann Bach : Adage et fugue en ré mineur pour deux flûtes traversières et orchestre à cordes
Georg Friedrich Händel : Concerto pour orgue et orchestre n°1 en sol mineur HWV 289
Wolfgang Amadeus Mozart : Symphonie n°25 en sol mineur KV 183
Wolfgang Amadeus Mozart : Exsultate, jubilate KV 165


Stéphanie-Marie Degand

Elle est aujourd'hui l'une des rares interprètes capable de maîtriser les techniques et les codes d'un répertoire allant du XVIIème siècle à la création contemporaine.

Soliste confirmée, chambriste passionnée, violon solo engagé, cheffe et pédagogue, sa démarche artistique est saluée par de nombreuses récompenses : Grand Prix Adami 95, 2ème Grand Prix du Concours Ferras-Barbizet 97, Révélation Classique au Midem 98, Lauréate Natexis 99, Prix de la Sacem 2002, Révélation "Soliste Instrumentale" aux Victoires de la Musique 2005.

Elle se produit dans les salles les plus prestigieuses sous la direction d'Emmanuel Krivine, Francois-Xavier Roth, Jérémie Rhorer, Laurence Equilbey et en formation de chambre aux côtés de Marie-Josèphe Jude, François-Frédéric Guy, Christie Julien, Violaine Cochard, Christophe Rousset, Emmanuelle Bertrand, Marc Coppey, Miguel Da Silva…

En 2000, elle est co-fondatrice avec Emmanuelle Haïm du Concert d'Astrée, dont elle sera le violon solo puis l'assistante musicale, avant de fonder en 2016 l’ensemble La Diane Française, avec lequel elle explore en tant que directrice artistique toutes les facettes de l’art français à travers les siècles.

Cette saison elle dirige par ailleurs des concerts avec l’Orchestre d’Orléans, l'Orchestre du CNSMD de Lyon et préparera l’orchestre du CNSMD de Paris pour les représentations de Didon et Enée dirigées ensuite par Leonardo Garcia Alarcon.

 

3ème concert liturgique

Stiftskirche St. Arnual, Sarrebruck - Allemagne

Le 2 avril à 18:00

 

© Daniel Jolly Monge