phryné de Saint-Saëns

Théâtre des Arts, Rouen

Juillet 2021

Olyrix.com   -   06/07/21   -   Damien Dutilleul

"Thomas Dolié   s’amuse en Dicéphile, les mains jointes et la mine bougonne pour jouer, même lorsqu’il ne chante pas, le ridicule de son personnage. Son timbre sombre et renfrogné porte un chant piqué, comme le veut la partition, mais qui sait s’élargir lorsque son personnage s’ouvre à l’amour. Sa voix concentrée est bien projetée."

Resmusica.com -   06/07/21   -   Patrice Imbaud

"Thomas Dolié  campe quant à lui un Dicéphile de belle tenue vocale, convaincant scéniquement par son ambiguïté oscillant entre autorité et ridicule."

CD - Ô mon bel inconnu - R. Hahn

Label Bru  Zane

Février 2021

Resmusica.com -   03/03/21   -   Pierre Deggot

"Les chanteurs réunis autour de cet enregistrement savent tous rendre justice à la fois au texte et à la musique. Peu étonnant d’ailleurs que certains,  Véronique Gens    et   Thomas Dolié    en tête, soient également spécialistes de musique baroque française. Ils sont en tout cas exemplaires dans leur incarnation du couple Aubertin. Dolié sait trouver dans son rôle de père de famille excédé et irascible des accents à la fois tendres et menaçants, et Gens apporte à son personnage tout le mélange de légèreté et de gravité qui convient.

Opéra magazine   -   Michel Parouty

"Très en voix, Thomas Dolié apporte à son personnage une faconde non dénuée de classe."

LIvre-CD - L'îLe du rêve

Palazzetto Bru Zane

Automne 2020

Opéra magazine - novembre 2020 - Michel Parouty

"Le timbre généreux de Thomas Dolié et la noblesse de son chant font de lui un Taïrapa convaincant, sage lecteur de la Bible."

crescendo-magazine.be -   04/12/20 -   Jean Lacroix

"Quant à Thomas Dolié, il est idéal en père de Mahénu qui accorde sa bénédiction aux jeunes amants lors du deuxième acte, et dans deux autres rôles secondaires."

Pénélope de Fauré

Théâtre du Capitole de Toulouse

23 octobre 2020

Olyrix.com - 24/10/20 -  José Pons

"Thomas Dolié, impeccable et presque tonitruant en Eurymaque"

Le Salon de la Duchesse du Maine - Les Arts Florissants

Cité de la Musique - Paris

Février 2020

Resmusica - 06/02/2020 -  Jean-Pierre Sicard

"Emmanuelle de Negri comme Thomas Dolié y montrent leur grand savoir-faire de la musique de ce temps, une diction qui est en elle-même une jouissance musicale, une expressivité pour incarner les mots-clés du récitatif et porter l’élan des airs."

platée

Théâtre des  Champs Elysées

Novembre 2019

Ôlyrix -  05/12/2019 -  Nicolas Mathieu

«Face à lui,  Thomas Dolié est un Jupiter convaincu. Le chanteur soutient avec assiduité des basses profondes et impose une prestance régalienne tout au long de l’ouvrage par une gestique et une intonation inébranlable. »

 

CADMUS ET HERMIONE

Versailles

Novembre 2019

Olyrix.com - 01/12/19 - Charles Arden

"Cadmus interprété par Thomas Dolié peut ainsi déployer la puissance tragique de son chant, au service de l'élégance princière. Son baryton (déjà fort apprécié dans d'autres tragédies et qui sera à retrouver pour Platée ainsi qu'Acanthe et Céphise) a la matière d'un grave sourd et vrombissant mais sans étouffer l'articulation. Sa voix de commandeur imprime l'intensité d'un volume large mais précis, à la projection chaleureuse. Il amplifie et déploie la matière tout en contrôlant ses inflexions vers la douleur de l'amant et la douleur du fier héros. "

ForumOpera -  28/11/2019 - Laurent Bury

«  On connaît les affnités de Thomas Dolié avec la tragédie lyrique : si Cadmus est un héros bien moins tourmenté que ceux où il s’épanouit le mieux, il ne lui permet pas moins de déployer toute la richesse de son timbre, notamment dans l’un des plus beaux airs de cet opéra, « Belle Hermione, hélas, puis-je être heureux sans vous ? » qui ouvre le dernier acte. »

HYPERMNESTRE

Novembre 2019

ResMusika - 18/11/2019 -  Jean-Luc Clairet

« Thomas Dolié est un Danaüs tourmenté, impérial »

Issé

Versailles

Novembre 2019

Forum Opéra -  13/11/2019 - Laurent Bury

« En Hylas, Thomas Dolié trouve un de ces personnages tourmentés, contrariés, qui lui vont comme un gant, et il renouvelle la réussite de précédentes incarnations chez Rameau ou d’autres compositeurs de cette époque. Les monologues que lui offre Destouches se prêtent à cette introspection où la noirceur de son timbre s’épanouit  »

Opéra Magazine -  Décembre 2019 - Michel Parouty

«Hylas est cette fois confié à Thomas Dolié, toujours maître d'une pâte vocale de belle qualité »

 

platée

Festival de Royaumont

Octobre 2019

Forum Opera -  02/10/2019 -  Christophe Rizoud

«Thomas Dolié est un Jupiter réjouissant, ne serait-ce que par le décalage entre la probité d’un chant sanglé dans la diction et les égarements d’un dieu si peu jupitérien – le sens de l’adjectif est désormais établi.»

 

La Prise de troie

Festival de Berlioz

Août 2019

Ôlyrix - 28/08/19 -  José Pons

«Le baryton  Thomas Dolié  s’empare du rôle de Chorèbe d’une voix ardente qui se déploie sans effort, fortement  caractérisée et dramatiquement à l’unisson. »

ResMusica - 29/08/19 - Michèle Tosi

«Sur la scène du Château Louis XI, la mezzo-soprano Isabelle Druet trouve la couleur. [...]  Dans sa très belle scène avec son fiancé Chorèbe, on apprécie  le timbre chaud et l’ampleur vocale du baryton Thomas Dolié.»

Télérama -  29/08/2019 -  Sophie Bourdais

«[ ...] le Chorèbe si humain du baryton Thomas Dolié  [ ...]»

Opéra magazine - 10/2019 - Christian Wasselin

«Thomas Dolié est un Chorèbe jeune et sonore irréprochable de diction et de phrasé»

CD - le chant du cygne

Label Klarthe

Mai 2019

Musikzen - 28/05/19 -  François Lafon 

«Qu’à la différence de La Belle Meunière  et du Voyage d’hiver, Le Chant du cygne  ne soit pas un vrai cycle mais la réunion de quatorze lieder composés par Schubert peu avant de mourir, que dans ce patchwork convoquant trois poètes (Rellstab, Heine, Seidler) se succèdent deux mini-cycles tenant à la personnalité de chacun d’eux (la contribution de Seidler se limitant au Taubenpost  final) n’enlève rien à la cohérence qui s’en dégage. Le baryton français Thomas Dolié, qui s’y confronte aujourd’hui, le fait précéder de cinq lieder célèbres couvrant l’essentiel de la précoce maturité du compositeur, induisant que l’ensemble aurait pu être titré Le Retour, tel le bouquet de poèmes de Heine dans lesquels Schubert a puisé. Un choix valorisant pour ce chanteur-acteur remarqué à ses débuts en Papageno de La Flûte enchantée  (entre autres dans la version Peter Brook) mais dont la palette expressive et stylistique (beaucoup de baroque) est large. Bon choix aussi que le piano Erard de 1859 joué par Olivier Godin, s’accordant mieux que les plus lisses instruments modernes au grain particulier de sa voix. Au-delà de la reconstitution philologique, on ressent dans leur interprétation commune une liberté et une jeunesse qui rend plus touchants encore les grands thèmes schubertiens d’amour brisé, de nature hostile et de fantastique latent. »

CLASSIQUE HD -  juin 2019

«Tant de sentiments, d’émotions que nous livrent Thomas Dolié et Olivier Godin à travers ce récital. Il faut s’imprégner et s’immerger dans la fin de vie de Schubert pour offrir une telle prestation, et encore, comprendre c’est une chose mais pouvoir donner autant d’émotions il faut être talentueux et avoir ça au plus profond de nous. Thomas, de sa voix grave, est capable de donner du frisson, de l’émotion … Olivier accompagne avec brio le baryton. Son jeu est toujours sur une bonne dynamique, jamais dans l’excès, c’est pour cela que Le Chant du Cygne ne tombe jamais à l’eau ou dans le mélo si l’on préfère.

Voilà une album bourré de fibres sensibles qui vous procura beaucoup d’émotions et vous offrira la chance de partager un petit bout de vie de l’illustre Schubert.»

GangFlow -   25/06/19  -  Anne-Sandrine Di Girolamo

«D’une voix chaleureuse et posée, Thomas Dolié évoque le programme de ce  disque Schwanengesang.[...] 

Schwanengesang est, en  effet, le premier album  solo de cet artiste  accoutumé des  enregistrements pour  l’opéra et la musique  baroque.  [...] 

Thomas Dolié et Olivier Godin sont sincères et délicats. Ils réussissent le pari difficile d’incarner la musique. Schubert souffre, le piano et la voix aussi. Schubert espère le bonheur et les voilà à faire de même.»

CD - NOUVELLE VERSION DES INDES GALANTES

AVEC L’ORFEO ORCHESTRA

1 mars 2019

ConcertoNet -  04/09/2019  -  Sébastien Gauthier

«Les voix masculines sont sans conteste les plus remarquables dans cet enregistrement où la théâtralité est  tout aussi importante que la ligne de chant. A ce jeu-là,  comment ne pas souligner la prestation tout en finesse de  Thomas Dolié qui tient les rôles de Bellone (dès le Prologue, excellent air «C’est la gloire»), Dom Alvar et,  surtout, l’Inca Huascar. On l’avait déjà remarqué dans ce  rôle au sein de l’équipe qui, il y a deux ans, nous avait  donné d’excellentes Indes au Festival de Sablé-sur-Sarthe.  Le voici qui récidive, alliant projection parfaite et autorité  dans le chant, le tout s’agrémentant d’une prononciation  exemplaire (cela peut sembler anecdotique mais avouons  que, concerts et disques nous donnent souvent à entendre  des chanteurs français qui n’entendent pas grand-chose à  sa diction): l’air, avec choeur, «Brillant Soleil, jamais nos  yeux» (Première Entrée) est superbe et confirme, entre  autres exemples, le chanteur idéal qu’est Thomas Dolié  dans ce répertoire.»

ResMusica -  19/04/2019 -  Pierre Degott

«Point d’ombre au tableau chez les messieurs, où les barytons Thomas Dolié et Jean-Sébastien Bou rivalisent dans leurs multiples incarnations, de beauté vocale et de sens aigu du  théâtre.»

 

PHÈDRE 

Arsenal - la cité musicale - Metz

24 mars 2019

ResMusica - 25/03/2019 - Pierre Degott

« En Thésée, le baryton Thomas Dolié    renouvelle sa formidable prestation d’il y a deux saisons, autant sur le plan scénique que musical.»

La ville Morte

Théâtre du Capitole, Toulouse

Novembre  -  Décembre 2018

Classiquenews.com  -  06/12/2018 -  Hubert Stoecklin 

«Une mention particulière pour Thomas Dolié qui dans un rôle très court de Fritz arrive à toucher le public en offrant un très beau moment de chant en théâtre.»

Culture 31  -  01/12/2018  -  Catherine Tessier

«[...] le Frank bienveillant de Matthias Winckhler et le Fritz chatoyant de Thomas Dolié méconnaissable en mort clownesque. Les deux jeunes barytons avaient déjà séduit la veille par des interprétations habitées de lieder et mélodies du temps de Korngold.»

Forumopera.com  -  28/11/2018  - Maurice Salles 

«Thomas Dolié fait sensation dans la romance de Pierrot, tant le grain de la voix et la projection impressionnent.»

Culture 31 -  26/11/2018  -  Michel Grialou

«Il nous permet aussi d’apprécier quelques seconds rôles, tous parfaitement   tenus, sans oublier le superbe Fritz-Pierrot de Thomas Dolié»

hypermnestre

Budapest

Septembre 2018

Forumopera.com -  18/09/18 -  Laurent Bury

«À tout seigneur tout honneur : on citera en premier l’impressionnante prestation de Thomas Dolié, qui prête au roi d’Argos un timbre toujours plus noir et dont l’incarnation est d’autant plus remarquable pour une version de concert, privée des artifices de la scène. Le baryton français est aujourd’hui sans égal dans ces rôles, comme il l’avait notamment prouvé, à Budapest déjà, en Huascar des Indes galantes.»

l'Heure espagnole

Opéra Bastille

Juin 2018

Olyrix - Juin 2018 -  Caroline Mounier-Vehier

«Ramiro trouve aussi un interprète de choix en Thomas Dolié, baryton qui séduit  par sa voix bien projetée, aux graves soutenus et lumineux. Aussi à l'aise dans le chant que  dans la manipulation des imposantes horloges de Concepcion, il joue le gentil muletier, un peu benêt, avec un rien de distance qui rend son personnage d'autant plus sympathique.»

Les indes galantes

Hongrie

Février 2018

 Diapason  - Février 2018 -  Jean-Philippe Grosperrin

«Et Thomas Dolié (ci-devant  Bellone) rend vaillamment au tortueux Huascar les caractères contradictoires dont le rôle est forgé : solennel sans crispation, concupiscent avec majesté, impérieux mais insinuant. « Permettez, astre du jour » est un modèle d'intelligence des nuances, d'équivoque tragique. Et quelle langue !»

Rinaldo

Tournée française

Février 2018

Forum Opéra -  Août 2018 -  Bernard Schreuders

«« Sibillar gli angui  d’Aletto » a beau cueillir Thomas Dolié  à froid, rien n’y paraît : projection exemplaire,  vocalisation déliée et ferme, le numéro tient ses promesses ou presque. Le baryton pourrait  faire preuve d’un peu plus de hardiesse dans la reprise, que nous avons connue plus spectaculaire, mais la surenchère ne l’intéresse pas. Il préfère investir les affects et affûter sa rhétorique plutôt que de nous éblouir, une approche qu’il partage d’ailleurs avec l’ensemble  des musiciens qui signent une lecture tout en nuances de Rinaldo. Cet Argante pétri  d’humanité renouvelle notre écoute et  son infinie délicatesse nous suspend à ses lèvres  (« Vieni, o cara, a consolarmi »).»

La Scène - Février 2018 -  Jean-Luc Clairet

«Des théorbes grisants, un basson troublant et la vélocité d’un clavecin gâté par le compositeur sont  d’indéfectibles soutiens aux  formidables pointures vocales engagées par la Co[opéra]tive. Certaines bien connues des mélomanes, tels les toujours  remarquables Thomas Dolié et Emmanuelle de Negri, lui Argante de grande classe, elle une gracieuse Almirena.»

Olyrix - Février 2018 - Charles Arden

«C'est le baryton Thomas Dolié qui en tire le plus de profit, offrant une prestation formidable  d'Argante (formant le couple  d'ennemis avec la magicienne Armida). Son long souffle cuivré  répond aux trompes naturelles de la fosse qui l'annoncent et  l'accompagnent. La noirceur de  cette voix s'apprécie comme la noblesse de son maintien, l'intensité de ses postures  baroques, le tout porté jusque dans les récitatifs.»

CD - Un Opéra pour Trois Rois

Label Glossa

Novembre 2017

Forum Opera  - 21/10/17 - Laurent Bury

«Chez   Thomas Dolié, enfin, on salue non seulement l’expressivité, mais aussi la puissance de l’aigu et la facilité avec laquelle il descend dans le grave : on se réjouit d’autant plus à la perspective de l’entendre incarner Huascar des   Indes galantes    (à défaut de pouvoir aller à Budapest en février prochain, on pourra au moins écouter le disque prévu, où Véronique Gens sera Phani de l’acte des Incas et où Reinoud van Mechelen tiendra les rôles de haute-contre).»

Phèdre 

Théâtre des Bouffes du Nord

Juin 2017

BaroquiadeS  -  14/06/17 -    Jacques Duffourg-Müller

«Thomas Dolié    n’est pas en reste : son personnage, déporté comme nous l’avons dit vers le dernier tiers de l’ouvrage, n’en ressort qu’avec plus d’éclat. Rescapé et débarqué tel Idoménée, Thésée se lance dans une noble tirade, en réalité un amuse-bouche avant le premier duo avec Hippolyte – et surtout un suffocant soliloque, Neptune, seconde ma rage. Cette page hyper-dramatique, d’une terrible intensité, permet au baryton de donner la pleine mesure de ses moyens, or ceux-ci sont impressionnants. Par son ampleur : même si la jauge raisonnable des Bouffes du Nord peut y aider, l’auditoire est comme pétrifié par l’insolente aisance de ce stentor. Par son abattage, son mordant, ses graves sonores, par la justesse de son jeu et de son expression : Dolié confère à son héros quelque chose des accents du Hollandais de   Wagner, voire du Wozzeck de    Berg, deux rôles dans lesquels nous aimerions, pourquoi pas, l’imaginer.»

Olyrix - 08/06/17 -   Charles Arden

«Transmutant tout son amour paternel en haine, le Thésée de  Thomas Dolié    tonne jusqu'à invoquer les foudres Jupitériennes et les monstres de Neptune contre son propre fils qu'il accuse de désir incestueux. Jadis roi glorieux, le père héroïque, dont la voix n'est blessée que dans l'intention, est accablé, accroupi, bossu, boiteux, rampant même sous le poids du drame lyrique.»

Resmusica - 11/06/17 -   Charlotte Saulneron-Saadou

«Thomas Dolié nous entraîne sans réserve à la compassion que les sentiments de son personnage doivent susciter. Sa voix franche et sonore qui se déploie dans tout le théâtre, sublime l’invocation de Thésée à Neptune, rendant l’incarnation du baryton bordelais proche de la perfection.»

CD - La Société anonyme des messieurs prudents

Label Klarthe

2017

Le Babillard -   07/10/2017 -   Loïc Chahine

«On remarque aussi Thomas Dolié, en vieux comte, comme, au milieu des voix de baryton, la plus ronde, la plus belle, et manifestement très en forme pour cet enregistrement — quel dommage qu’il ne chante pas davantage !»

Diapason - Septembre 2017 - François Laurent (récompense - 5 diapasons)

«Il peut compter sur un quatuor de prétendants au caractère bien senti - le jeune cadide (Jérôme Billy), le financier arrogant (Dominique Côté), le bourgeois ridicule (Mathias Vidal, le viellard dépassé (Thomas Dolié)  - qui habitent les ensembles avec beaucoup de fantaisie.»

Vaucluse hebdo  - Août 2017

«Opéra-bouffe interprété avec fougue par Isabelle Druet qui chante "Elle", entourée par Jérôme Billy,  Mathias Vidal, Dominique Côté et Thomas Dolié, tous parfaits»

Classiquenews.com - 10/06/17 - Hugo 

«La présente production sélectionne le meilleur, plutôt très bien chantant, comptant sur une distribution idéale, regroupant les meilleurs talents lyriques de la jeune génération : Isabelle Druet (Elle), Mathias Vidal (Le Gros Commerçant), Jérome Billy (Henri), Thomas Dolié (Le Conte Agénor de Machinski) et Dominique Côté (Le Grand Industriel). Chacun cisèle son caractère tout en se jouant du verbe poétique dramatique allusif. Y éblouit l’esprit à la fois cynique et tendre d’un Guitry, grand connaisseur et analyste de l’âme humaine.»

CD - Isbé

Label Glossa

Février 2017

Forum Opéra - 28/02/17 - Laurent Bury

«Depuis plusieurs saisons, nous appelons de nos vœux la reconnaissance de l’immense talent de  Thomas Dolié, dont une nouvelle preuve nous est donnée par son incarnation d’Adamas, le rival malheureux mais généreux qui assure le  happy end  en consentant à l’union d’Isbé avec celui qu’elle aime.»

CD - Arcanes Symphoniques

Compte-rendu critique

Janvier 2017

Classiquenews.com - 04/01/17 - Lucas Irom

«Le fabuleux diseur habité qu’est le baryton Thomas Dolié (ailleurs baroqueux de la première qualité dans les nombreuses recréations récentes en France et en Europe) assure la tension et l’intelligibilité du texte tout au long de cette scène d’opéra»

Concert "musiques pour la cour des trois rois"

Versailles

Novembre 2016

ForumOpera.com - 24/11/16 - Un opéra pour trois rois - Laurent Bury

«La relève semble toute trouvée en la personne de Thomas Dolié, dont on ne sait qu’admirer le plus, entre la richesse du timbre jusque dans le grave, l’articulation irréprochable et la sobriété de l’acteur qui prend bien soin de ne jamais surjouer son texte.»

Persée

Théâtre des Champs Elysées

Avril 2016

ForumOpera.com - 06/04/16 - Lully transgénique - Guillaume Saintagne 

«Mercure clair et gracieux mais puissant ; Thomas Dolié dont on ne comprend toujours pas pourquoi on le confine dans des seconds rôles tant son jeu et son élocution impressionnent par leur autorité naturelle»

Le Nozze di Figaro

Théâtre Impérial de Compiègne

8 et 10 Novembre 2015

DiapasonMag - 09/11/2015 - Benoît Fauchet

«Thomas Dolié est un jeune Comte qui ne manque ni d'autorité ni de liberté.»

Opéra Magazine - Décembre 2015 - Thierry Guyenne

«Thomas Dolié offre une voix mordante, brillante et très homogène jusque dans les graves, à un personnage assez névrosé.»

DVD - Les Indes Galantes

Label Alpha

Diapason - Novembre 2015 - Jean-Philippe Grosperrin

«L'équipe est dominée par la sensualité exacte d'Amel Brahim Djelloul et de Thomas Dolié

L'Heure Espagnole

Nantes Angers Opéra

Septembre 2015

Opéra Magazine - Novembre 2015 - José Pons

«Thomas Dolié  campe un Ramiro idéal ; sa voix de baryton est riche jusque dans l'aigu, et la diction est particulièrement soignée. On aimerait le revoir en scène dans le rôle !»

Forum Opéra - 11/09/15 - Laurent Bury

«De Thomas Dolié, enfin, on pourrait ne dire qu'un mot : parfait. Son Ramiro est tout simplement idéal, par la richesse de son baryton à la fois très à l'aise dans l'aigu et d'une épaisseur fort bienvenue dans le grave, par la qualité de son incarnation et le naturel de son jeu, et par une élocution dont on ne perd pas une syllabe. Quand les maisons d'opéra se décideront-elles à distribuer comme il le mérite cet excellent artiste ?»

Grands Motets de Lully

Festival Musical de Namur

11 Juillet 2015

AgoraxVox  - 17/07/2015 -  Les belles soirées du Festival Musical de Namur 2015  - Frédéric Degroote

«Il faut souligner l'excellence brochette de solistes appelée pour les grands motets de Lully ; mentionnons spécialement (...) la basse-taille Thomas Dolié

CD - Les Fêtes de Polymnie

Glossa

Mars 2015

hrafuaga.com – 05/02/2015

«Mais surtout, nous tenons avec Thomas Dolié une clef de fa à la fois chantante mais dont le "creux" rend parfaitement les rôles divins et nobles que Rameau confie à cette tessiture.»

classiquenews.com – 26/02/2015 – Benjamin Ballifh

« Au sommet d’une partition qui aurait pu seulement plaire et flatter […] le baryton   Thomas Dolié  se distingue nettement. […] la noblesse héroïque de Thomas Dolié, campe le vainqueur sublime Séleucus ; dans sa somptueuse virilité chantante s’écoule déjà tous les souverains idéalisés par Les Lumières : roi magnanime et compréhensif, surtout père préoccupé, exemplaire… la richesse du timbre, la simplicité et le naturel de l’articulation, l’intelligibilité font ici un modèle de chant engagé, précis, d’une rare intelligence dramatique. Puis, le chanteur touche au sublime pathétique dans la solitude de Zimes au III… souci du verbe, justesse émotionnelle,  simplicité et mesure du style (air : Que deviens je ?)… tant de grâce noble et raffinée fait espérer demain un superbe Thesée (Hippolyte et Aricie) ou un non moins cœur foudroyé idéal pour le rôle d’Anthénor dans Dardanus et son fameux air “Monstres affreux”… Que les directeurs n’oublient pas son formidable potentiel.»

Diapason n°634 – Avril 2015 – J.-P. Grosperrin

«Les rôles plus riches de Chassé, déjà créateur de Huascar ou de Thésée, font jouir de la maturation vocale et dramatique du baryton Thomas Dolié  : autorité débonnaire, noblesse et onction (Séleucus), attention aux nuances (la violence de Zimès, chasseur malgré lui, est superbement morbide).  [...] A ses côtés brille l’excellent Thomas Dolié, dans la majesté de Jupier, la tendresse paternelle du roi Séleucus ou la vaillance du chasseur Zimès.»

L'Enfance du Christ

Opéra d'Avignon

Décembre 2014

Destimed.fr  -   07/12/2014 -   On a vu la beauté d'un chef d’œuvre peu joué de Berlioz -  M. Egea

« Le Joseph de Thomas Dolié, baryton franc et puissant, fut très présent.»

Fortunio

Opéra de Saint-Etienne

Novembre 2014

ResMusica.com  -   01/12/2014 -   Un délicieux Fortunio à Saint-Etienne  -  C. Schoeller

« Thomas Dolié, surdimensionné en Landry, crève la scène. »

Forumopera.com -   18/11/2014 -  Les chandeliers de Rochefort -  Laurent Bury

« Par l’exubérance de son jeu et la vigueur de ses accents, Thomas Dolié est un parfait Landry  : il ne fait qu’une bouchée de ce personnage assez secondaire, et il semble désormais prêt à aborder des emplois plus lourds.»

Opera-online.com -   18/11/2014 -   Emmanuel Andrieu

«Autour d'eux s'agite une galerie de portraits pleine d'esprit et de savoir-faire, dont nous dégagerons le Landry plein de santé de Thomas Dolié

Odb-opera.com -   21/11/2014 -   Gérard Ferrand

«Le rôle épisodique de Landry permet à Thomas Dolié de faire état de toutes ses qualités et de montrer qu’il peut s’attaquer à des rôles plus conséquents.»

Opéra Magazine -   J.-L. Macia

«Thomas Dolié rattrape le coup avec son Landry enjoué, d’une diction parfaite. »

Hippolyte et Aricie

Beaune

Juillet 2014

Opéra Magazine N°76  

«Thomas Dolié, en Tisiphone, nous ravit par sa décontraction et sa facilité. Son français est inégalable.»

Platée

Opéra national du Rhin

Juin -  Juillet 2014

Musebaroque.fr -   19/06/2014 -   Bruno Maury

«Le timbre charpenté à la belle projection du baryton (formidable narrateur en chemisette à fleurs au prologue, irrésistible Momus au troisième acte, travesti en Amour).»

ResMusica.com -   04/07/2014 -   Jean-Luc Clairet

« Thomas Dolié est un acolyte de choix dans les double rôle de Momus et Cithéron (son hilarante Marylin Monroe de travers à l’Acte IV!).»

EIN DEUTSCHES REQUIEM, BRAHMS

Auditorium Barcelone

21 Mars 2014

Revista Musical Catalana -   24/03/2014 -  Un Requiem Allemand plein de délicatesses et d'émotions  -   Lluìs Trullén

« Per la seva part, la veu majestuosa, potent, d’amplis registres i dúctil de Thomas Dolié va resultar idònia per afrontar les dues intervencions amb el cor.»
Pour sa part, la voix majestueuse, puissante, ductile et d'amples registres de Thomas Dolié se révèle idéale pour affronter les deux interventions avec choeur.

Ximo.wordpress.com -  23/03/2014 -  Revue In fernem Land – Le Requiem OBC et Brahms  -   Joaquim

«El jove baríton francès Thomas Dolié va cantar amb gran efecte els dos fragments a ell destinat. El cant és magnífic i la interpretació va ser degudament intensa.»
 Le jeune baryton français Thomas Dolié a chanté avec grand effet les deux morceaux qui lui sont destinés. Le chant est magnifique et l'interprétation fut d'une intensité appropriée.

Les Indes Galantes

Barbican, London

Mars 2014

London Evening Standard -   09/03/2014 - Barry Millington

«A fine sextet of soloists covered 17 roles between them. Particularly worthy of mention were Amel Brahim-Djelloul, Hélène Le Corre, Benoît Arnould and Thomas Dolié but all six touched the heart with singing of beauty and stylish assurance.»

Les Indes Galantes

Opéra de Bordeaux

Février 2014

Altamusica - Mehdi Mahdavi

«Thomas Dolié, qui en Adario donne à l'ensemble du plateau une leçon de projection – des mots, pénétrants, et du timbre, éclatant.»

Les Danaïdes

Versailles

Novembre 2013

ODB-Opéra -   04/12/2013 -   Emmanuelle Pesqué

«Thomas Dolié, dans un tout petit rôle (bien que déterminant) parvient à remplir celui-ci d'une présence que ne laisse pas supposer le librettiste.»

Diapason -   02/12/2013 -   Mehdi Mahdavi

«Les solistes sont sans faille. L’insolent métal de Thomas Dolié (Pélagus puis premier et deuxième officier, à peine six répliques à eux trois) est en soit un luxe suprême.»

LOLO FERRARI

Théâtre des Arts, Rouen

Mars 2013

Resmusica - 11/03/2013 - Maxime Kaprielian

«Thomas Dolié confirme les espoirs mis depuis quelques années sur ce jeune baryton : la voix comme le jeu scénique sont solides.»

Forumopéra - 10/03/2013  - Michel Fourgon

«Un seul duo, trop bref, l’unit à son mari et manager, interprété avec brio par Thomas Dolié, dans un parcours qui va, là aussi, de l’arrogance à la déchéance.»

IL BARBIERE DI SIVIGLIA

Opéra de Bordeaux

Septembre 2012

Avant Scène Opéra

«  Thomas Dolié possède un sens de la scène, une faconde et un naturel qui donnent à son Figaro une remarquable présence. »

Opéra magazine -   Novembre 2012 -   Jean-Luc Macia

«  Thomas Dolié en Figaro [...] la voix est mordante, l'incarnation juste et l'aisance scénique incontestable. »

Hippolyte et Aricie

 Festival de Beaune

Juillet 2012

Opéra magazine -   Septembre 2012

« Thomas Dolié, en Tisiphone, nous ravit par sa décontraction et sa facilité. Son français est inégalable.»

Chansons de Don Quichotte à Dulcinée

Festival d'Aix-en-Provence

20 et 21 juillet 2012

Zibeline – Juillet 2012 – Jacques Freschel

«Une écoute attentive des exquises Chansons de Don Quichotte à Dulcinée de Ravel interprétées par lʼexcellent baryton Thomas Dolié .»

Les Indes Galantes

 Théâtre du Capitole de Toulouse 

Mai 2012

Muse baroque -   22/05/2012 -   Les Indes choquantes -   Bruno Maury

« Thomas Dolié (Adario à la quatrième entrée), autre baryton, fait preuve d'une projection assurée, et d'une belle expressivité ("Nos guerriers, par mon ordre..."). »

Resmusica -   11/05/2012 -   Les Indes Galantes à Toulouse, du très grand art -   Franck Langlois

« Le plateau de chanteurs a été de premier ordre. [...] Tous les autres chanteurs ont également séduit et touché par leur droiture vocale et leur aptitude au jeu théâtral, notamment Judith van Wanroi, Thomas Dolié et Aimery Lefèvre.»

Le Figaro -   08/05/2012 -   Des Indes galantes savoureuses -   Christian Merlin

«Le style de Cyril Auvity et Thomas Dolié mérite tous les éloges.»

Le Roi et le Fermier

Washington, New York, Opéra Royal de Versailles

 Janvier  -  Février 2012

Forum Opéra -   07/02/2012 -   Rien de révolutionnaire -   Laurent Bury

«L'excellent baryon Thomas Dolié a le droit de dire lui-même son texte parlé, et son rôle de comparse balourd lui offre même un air en solo, où il vante la supériorité de la bouteille sur la femme. Dommage que ses collègues ne se situent pas tous au même niveau, en matière de voix comme de diction, la soirée n'aurait pu qu'y gagner. Que ne l'a-t-on distribué dans le rôle du Fermier !»

Muse baroque -   Février 2012 -   La Comédie des erreurs -   Pedro-Octavio Diaz

«Dans les rôles secondaires nous saluons la voix et le jeu du magnifique Thomas Dolié qu'on aimerait voir davantage sur les premiers plans car il unit en lui le charme et le talent des grandes voix.»

Concertonet

«On saluera notamment le très beau chant de Thomas Dolié qui incarne un Rustaut (rustaud?) plus vrai que nature.»

AriaDne AUF Naxos

Opéra de Bordeaux

Février  -  Mars 2011

Les Echos -   28/02/2011 -   Ariane chez les bobos -   Philippe Venturini

« Dans cette jeune équipe guidée avec style par Kwamé Ryan, il faut aussi citer l'Arlequin coloré de Thomas Dolié.»

une Flûte Enchantée 

Bouffes du Nord

Novembre  -  Décembre 2010

La Terrasse -   Décembre 2010 -   Catherine Robert

«Raphaël Brémard et Thomas Dolié savent offrir à Monostatos et Papageno les couleurs complémentaires de leurs deux voix, le premier dans l’inquiétante menace du méchant, l’autre dans la folâtre légèreté de l’oiseleur en quête d’un nid douillet.»

La Lettre du Musicien -   Décembre 2010 -   Une "Flûte" pas trop enchantée aux Bouffes-du-Nord -   Philippe Thanh

«Les voix sont vertes, les chanteurs donnent le sentiment de chanter du bout des lèvres et de jouer du bout des doigts... à l’exception du Papageno de Thomas Dolié, le seul à s’engager vraiment, et du Sarastro prometteur de Luc Bertin-Hugault.»

Forumopera -   18/11/2010 -   Désenchantée -   Elisabeth Bouillon

«Nous aimons tout particulièrement le baryton envoûtant de Thomas Dolié, bien projeté, riche en harmoniques et très personnalisé. Dès qu'il se met à chanter, l'on oublie la trivialité de son Papageno parlé et le personnage féérique de Mozart-Schikaneder se met à exister.»

The Independent -   17/11/2010 -   Michaël Coveney

« Thomas Dolié's enchanting Papageno.»

Le Figaro -   15/11/2010 -   « être au plus près de Mozart » -   Armelle Heliot

«Certains, comme le Papageno de Thomas Dolié ou la Reine de la nuit Mala Bendi-Merad, sont déjà armés pour une belle carrière.»

Concertclassic -  12/11/2010 -   Mozart l'universel -   Jacques Doucelin

«L'irrésistible Papageno du baryton bordelais Thomas Dolié. »

Le Parisien -   28/09/2010 -   Une grande saison classique -   La Flûte Enchantée de Mozart pour tous -   Olivier Bellamy

«L'occasion de découvrir de jeunes chanteurs, comme le baryton Thomas Dolié (révélation lyrique des Victoires de la musique 2008).»

 l'Avant Scène Opéra

«Mention particulière revenait au Papageno fort bien chantant et aussi drôle que sympathique de Thomas Dolié.»

 Die ZAUBERFLÖTE

Opéra de Bordeaux

Janvier 2010

Forum Opéra -   24/01/2010 -   Une flûte au sommet  -   La Flûte Enchantée à Bordeaux -   Christophe Rizoud

«Pas de baisse de régime en revanche pour Thomas Dolié qui du début à la fin de l'opéra impose un Papageno exemplaire. Le son, le ton, le phrasé, le souffle mais aussi l'allure, le style, le naturel, l'esprit, rien ne manque à son oiseleur qui, le rideau tombé, l'emporte à l'applaudimètre.»

Le Balcon

Opéra de Bordeaux

Novembre 2009

Le Figaro -   Novembre 2009 -   Le Balcon à Bordeaux -   Christian Merlin

«Les hommes ne sont pas en reste, à commencer par Thomas Dolié, voix glorieuse et superbement timbrée.»

Financial Times -   Novembre 2009 -   Le Balcon à Bordeaux -   Francis Carlin

« Best of all in the future-promise stakes is Thomas Dolié as the rebel Roger, a polished baritone who serves the music rather than the decibel count. »
Au 1er rang des espoirs s'impose Thomas Dolié dans le rôle de Roger, l'insurgé, un baryton brillant au service de la musique plus que du record de décibels.

Forum Opéra -   20/11/2009 -   Et si c'était vrai -   Le Balcon à Bordeaux -   Christophe Rizoud

«Côté masculin, c'est avant tout le timbre de Thomas Dolié (Roger, le chef des insurgés) qui capte l'oreille. Une présence, un charisme vocal indéniable.»

Anaclase.com -   Novembre 2009 -   Le Balcon à Bordeaux -   Christophe Rizoud

«Quatre artistes emportent les suffrages : le jeune baryton Thomas Dolié dont le timbre chaleureux et l'art du phrasé donnent au rôle de Roger un relief étonnant.»

Dido & Aeneas

Théâtre des Champs Elysées

Novembre 2009

Forum Opéra -   13/11/2009 -   Un joyau rescapé -   Dido & Aeneas au Théâtre des Champs Elysées -   Brigitte Cormier

«Le baryton Thomas Dolié donne ici toute sa mesure. Avec sa voix profonde, expressive et bien timbrée et son engagement dramatique — remarquable pour une version de concert — il domine nettement la distribution.»

DIDO & AENEAS

Amsterdam

16 Août 2009

NRC Handelsblad - 16/08/2009 - Misha Spel

«Bariton Thomas Dolié (Aeneas) gaf ondanks zijn mooie timbre wat weinig vuur en kern aan Aeneas' sieleroerselen.»
Grâce à son beau timbre, le Baryton Thomas Dolié a donné feu et coeur au rôle d'Aeneas.

De Volkskrant - 16/08/2009 - Guido van Oorshot

«Bariton Thomas Dolié leverde nogal zijïg acteerwerk,waarvan je kon vinden dat het bij een pantoffelheld perfect past.»
Le baryton Thomas Dolié, à la production théâtrale soyeuse, incarne parfaitement un mari dominé par sa femme.

Giulio Cesare IN EGITTO

Beaune

Juillet 2009

Resmusica -   14/07/2009 -   La découverte d'une Cléopâtre -   Hubert Stoecklin

«Thomas Dolié n’a que quelques airs et récitatifs pour donner tout son poids au personnage d’Achillas. Le timbre est superbe, l’autorité naturelle de la voix et la maîtrise parfaite des vocalises lui permettent d’envisager d’autres personnages de Haendel. Ce jeune baryton aborde ce rôle avec beaucoup d’aplomb.» 

Requiem de Fauré

Chorégies d'Orange

 Juillet 2008

Nouvel Obs - 07/08/2008 - Armistice en Avignon - Jacques Julliard

« La plus belle soirée de l'été ? Ce fut pour moi le «Requiem» de Fauré, dans la cathédrale Notre-Dame d'Orange qui célébrait ses huit cents ans. Avec deux solistes remarquables, Thomas Dolié (baryton) et Amel Brahim-Djelloul (soprano), une vraie découverte. Quand elle chante le «Pie Jesu», on a envie de monter tout de suite au Paradis en sa compagnie.»

L'Humanité - 29/07/2008 - Deux Requiem transcendés à Orange - Philippe Gut

«Et les deux solistes dont les voix étaient en totale adéquation avec l'œuvre, celle, cristalline et juvénile, de la jolie soprano Amel Brahim-Djelloul, et celle, vaillante et vigoureuse, de Thomas Dolié. Les mélomanes présents dans la cathédrale comble étaient au paradis...»