Les Génies - Mademoiselle Duval

Festival de Sablé-sur-Sarthe

28 août 2021

Olyrix.com  -   05/09/21   -    Véronique Boudier

"La mezzo Anna Reinhold possède un timbre sensuel et velouté. Sa bonne diction et son souci de varier l’émission vocale selon les affects rendent le texte expressif et donnent du relief aux personnages interprétés. L’étoffe d’une tragédienne transparaît dans l’interprétation de la nymphe qui préfère inonder la scène plutôt que de suivre l’inconstant Léandre ou encore celle de la rageuse et perfide Pircaride. "

Diapasonmag.fr - 31/08/21 -   Loïc Chahine

"Anna Reinhold — mezzo d'un superbe velours et excellente diseuse — possède un tempérament plus tragique et ses interventions, trop rares à notre goût, sont guettées avec avidité.

Madonna    della Grazia - Ensemble Il Caravaggio - CD

Label  Klarthe

Mai 2021

Classica   -   Philippe Ramin

"Elle a aussi convoqué deux superbes chanteurs , la mezzo Anna Reinhold, dont le timbre et l'urgente douleur font merveille  dans la célèbre et troublante berceuse de Merula ... "

Resmusica.com   -   13/06/21   -    Charlotte   Saulneron

"La mezzo-soprano Anna Reinhold enchante quant à elle par un timbre sensuel."

Soir Païen - CD 

Mars 2020

  musicweb-international.com - Août 2020 - Michael Cookson

"Reinhold is in outstanding voice. She provides purity and expression, conspicuously in full accord with the text  . (...)   Reinhold’s singing of Caplet’s Viens! Une flute invisible also caught my attention. It is a setting for voice, flute and piano to a Victor Hugo text. With this beguiling song of love in a pastoral setting, Reinhold relishes the import of the text, creating a sense of sincerity and innocence. Her persuasive clarity of diction produces an impressive breadth of vocal colour. (...) Mezzo-soprano Anna Reinhold excels in a gratifying performance from the heart."

crescendo-magazine.be - 18/06/20 - Jean Lacroix

"Les interprètes sont à la hauteur du projet. (...) A une exception près, Anna Reinhold chante tout, avec un timbre chaud, en s’adaptant à chaque compositeur ; c’est elle aussi qui, chair et volupté, est la naïade-narratrice du poème de Gabriel Mourey (rarement accessible sous cette forme) pour La Flûte de Pan de Debussy."

artalinna.com -  30/04/20 - Jean-Charles Hoffelé

"Jacques Ibert cache des perles dans les replis de son catalogue, Anna Reinhold y a débusqué les deux stèles qu’il a choisies dans le recueil célèbre de Victor Segalen, enlaçant la voix de mezzo claire et le traverso. L’alliage est magique par sa fluidité nerveuse, son sens de la prosodie évocatrice et du commentaire percutant (de l’une sur l’autre et versa), le suave et le piquant, le sensuel et l’âcre si mêlant. Anna Reinhold, tout au long de ce disque magique où brillent des gemmes inattendus que la mélodie française enfanta au XXe siècle, est admirable, diseuse autant que chanteuse, son mezzo sait s’envoler, rêver, caractériser ; voix timbrée, juste assez profonde pour être encore lumineuse, parfaitement accordée à la flûte impertinente et tentatrice d’Alexis Kossenko, vrai faune."

Airs sérieux et à boire

Tournée avec les Arts Florissants

Janvier 2019

Olyrix.com - 26/01/2019 - Stéphane Lelièvre

«La voix claire, aux couleurs argentines, et la technique aguerrie de la mezzo Anna Reinhold, le timbre velouté et l’élégante ligne de chant d’Emmanuelle de Negri (...) sont aussi bien au service de l’émotion que de la polissonnerie. Toutes deux parent ici ou là leurs interventions respectives d’ornements discrets et raffinés.»

le songe d'une nuit d'été

La Seine Musicale

septembre 2018

Ôlyrix -  30/09/18 - Nicolas Mathieu 

«Incarnant des elfes dans la Berceuse puis dans le finale, la soprano Sheva Tehoval et la mezzo Anna Reinhold dessinent des lignes pleines de charme et de mystère, évocatrices de la féerie poétique du texte shakespearien. [...]  [Elle]  possède également un joli timbre très agréable à l’oreille, délivrant des notes agiles, rondes et chantantes. Avec les voix du Chœur Accentus (un cortège d’elfes), elles forment un tout bien homogène, dont la cohésion dans l’attaque et dans l’intensité engendre de superbes harmonies, chuchotements détachés d’une seule voix.»

les musicales de Colmar

Colmar

Mai 2018

L'Alsace - Mai 2018 - Jacques Weil

«On y a retrouvé le timbre profond, mais aussi l'éclat d'Anna Reinhold, qui aura été l'un des artisans essentiels pour la réussite du Festival. Outre ses qualités vocales maintes fois soulignées, on aura remarqué dans son interprétation son sens dramatique.  Sans craindre de se faire l'écho des outrances du texte, elle les a appuyées d'un chant exalté, puissant, mais toujours dans la justesse de l'expression ; du deuil au triste sourire d'une ironie amère, a accompagné le cheminement sentimental tragique des poèmes.»

«Et si le titre  était tout simplement "Anna in the sky" ?»

«(...)La voix d'Anna Reinhold, inquiète quand besoin, lumineuse et angélique quand nécessaire(...)»

Le mystère de l'ecureuil bleu

Opéra Comique de Paris

Février 2018

ResMusica - Février 2018 -  Victoria Okada

«Anna Reinhold est  délicieusement orgueilleuse dans le rôle d’Adèle, et son beau timbre chaud trahit, malgré le caractère capricieux  de la diva, une grande sincérité dans  sa démarche vocale, à quoi s’ajoute une belle présence scénique.»

Classicagenda -  Février 2018 -  Cinzia Rota

«Anna Reinhold, with her soft voice, is the perfect embodiment of this complex character, a seductive, haughty, cynical, cruel, but ultimately very  sensitive woman.»

Olyrix - Février 2018 -  Irène Salas

«Tout aussi efficace est la performance de la mezzo-soprano Anna Reinhold, qui excelle  autant dans le chant que dans la comédie.  Elle parvient à travestir autant son corps que sa  voix, en changeant de costume et en jouant deux rôles : l’orgueilleuse Adèle, la  cantatrice  star et l’énigmatique Al Sirbec, l’expert en sécurité. Son ambitus est large, alternant entre  des aigus aussi amples que  précis et un timbre sombre et velouté, parfois rentré. Le duel de  vocalises excentriques qui l’oppose à sa rivale, l’ingénue Margot, est d’une virtuosité  exceptionnelle.»

L'Orfeo avec Cappella Mediterranea

Festival d'Ambronnay

Septembre 2017

Forum Opera - 25/09/2017 -  Fabrice Malkani

«la touchante Proserpine incarnées par Anna Reinhold»

Ensemble Il Caravaggio

Festival de Sablé

Août 2017

Resmusica - 29/08/2017 -   Charlotte Saulneron 

«les deux jeunes chanteurs se révèlent d’une belle prestance tout au long de leur prestation :   Anna Reinhold    déployant notamment des qualités de tragédienne dans l’air d’Isabelle Mes yeux, fermez-vous à jamais (Le Carnaval de Venise, Acte III, scène 5)»

L’Orfeo - Cappella Mediterranea

Festival de Saint-Denis

20 Juin  2017

Forum Opéra - 20/06/17 -   Fabrice Malkani

«la mezzo-soprano française Anna Reinhold prête à Proserpine – et à l’Espérance – une voix ronde, très homogène, dotée d’une belle projection»

les musicales de Colmar

Colmar

Mai 2017

L'Alsace - 27/05/2017 -  J. W.

«Sous-titré « de Monteverdi à Wagner », le concert de ce vendredi a mis en valeur le talent de la soprano Anna Reinhold.  [...] La mezzo-soprano Anna Reinhold a soulevé dans le public une profonde émotion.  [...] il a fallu une certaine dose d’audace pour entamer un concert, vendredi à l’église Saint-Matthieu de Colmar, par le dernier air d’Ottavia dans Le Couronnement de Poppée de Monteverdi : air d’adieu, déchirant, où l’artiste a dû imposer sa présence dramatique à un public privé de contexte.  [...] Mais pour Anna Reinhold, ce qui aurait pu être un frein a constitué bien davantage un stimulant : par sa présence dramatique, sa puissance et sa précision vocales, elle a soulevé chez l’auditeur une profonde émotion.  [...]  Le programme, débuté en quittant Rome, s’est achevé à Zurich, avec les Wesendonck Lieder de Wagner. La soprano y a prolongé ces échos d’une passion amoureuse imprégnée du souffle romantique d’un hymne à la nature. Sa diction claire, son timbre lumineux et limpide ont épousé avec justesse les inflexions des poèmes, évoluant sans peine du puissant éclat au sombre et douloureux murmure.»

Labirinto d'Amore

Festival Baroque en Tarentaise

09 Août  2016

Le Dauphiné -   11/08/2016 -   Michel Lebraut

«Mais que dire du programme annoncé, sinon que durant toute la soirée, le public a retenu son souffle pour écouter et entendre la voix légère, fraîche, d'une grande richesse d'expression, et d'une énergie enthousiasmante d'Anna Reinhold»

Teatro dei Sensi

Festival de Saintes

11 Juillet  2016

Concertclassic.com -   Juillet 2016 -   Alain Cochard

«[…] “Dell’antro magico”, l’air de Médée (Giasone) dans lequel Anna Reinhold, portée par l’accompagnement d’Alarcón et de ses musiciens, s’adresse de saisissante manière au « Grand monarque de l’ombre » - un frisson parcourt l’auditoire...»

L'ITALIENNE À ALGER

Tourcoing 

Mai 2016

ForumOpéra.com -  26/05/2016 -   Sans graisses ajoutées  -    Laurent Bury  

«Enfin, on avouera qu’on venait surtout écouter l’Isabella d’Anna Reinhold, pour avoir été ébloui par sa Cybèle d’Atys : passer du baroque à Rossini est un grand pas, que la mezzo accomplit sans difficulté apparente. La virtuosité est parfaitement là, la tessiture est maîtrisée du grave à l’aigu, et l’on espère que cette jeune voix ne sera pas engloutie dans l’acoustique parfois ingrate du TCE ; quant au personnage, si ce n’est pas encore tout à fait la « maîtresse de jeu » que d’aucuns voient en l’Italienne, c’est incontestablement une femme libre et séduisante qui sait mener ses soupirants par le bout du nez, comme le prévoit le livret, et par les temps qui courent, c’est déjà beaucoup. »

Classiquenews.com -   11/05/2016 -   Alexandre

«Soulignons dans le rôle centrale d’Isabella, la jeune mezzo Anna Reinhold et son velouté flexible déjà applaudie au jardin des Voix de William Christie, et récemment clé de voûte du cd / programme intitulé Labirinto d’Amore d’après Kapsberger (CLIC de classiquenews de juillet 2014)»

CD - BIEN QUE L'AMOUR...

Les Arts Florissants - 

William Christie

Avril 2016

Resmusica -   19/04/2016 -   Jean-Luc Clairet

«Les moins connus (Lisandro Abadie, Anna-Rheinhold) n’ont rien à envier aux plus confirmés (Marc Mauillon, Cyril Auvity, Emmanuelle de Negri) et confirment l’idée qu’on n’a peut-être jamais aussi bien chante qu’aujourd’hui et surtout qu’est close l’ère du débat qui taclait de mode l’interprétation baroque. »

laissez durer la nuit

Festival de musique ancienne -  Avignon Vaucluse

06 Mars  2016 

Anaclase -   Mars 2016 - François Cavaillès 

«Une petite foule y converge en belle curiosité et reste, durant une bonne heure et demie, prise au piège charmant du mezzo- soprano Anna Reinhold et du luthiste Thomas Dunford, jeune duo féru de musique ancienne et invité par le Festival de musique ancienne Avignon Vaucluse. Un concert bien conçu et bien préparé, voilà une possible clé de ce succès dominical ! »

Catone in Utica

Kennedy Center - Washignton

Novembre 2015

DC Metro Theater Arts - 29/11/15 - Robert Michael Oliver

«Reinhold's solos are more muted than Caesar's, but she gives them a sustained sense of sorrow that highlights their strengh.»

The Washington Post - 29/11/15 - Patrick Rucker

«Anna Reinhold's understated characterization of Marzia, Cato's loyal daughter who is also in love with Caesar, built through the evening and proved deeply touching.»

The New York Times - 02/12/15 - James R. Oestreich

«Anna Reinhold, a mezzo-soprano, sang Marzia beautifully.»

CD - Heroines of the Venetian Baroque

Label Ricercar

Septembre 2015

Le Babillard - 06/12/15 - Loïc Chahine

«Encore un peu plus loin, avec l'excellente Anna Reinhold cette fois, Médée est incarnée. On entend qu'il y a quelque chose de menaçant, qu'elle trame, qu'elle invoque quelque puissante souterraine et que ce n'est pas pour faire du bien. On ne sait plus ce qui vient de Cavalli et ce qui vient des interprètes : est-ce que cela serait aussi bien si c'en étaient d'autres ? Nous ne le croyons pas, car jamais Cavalli ne nous avait paru aussi grand qu'en ces deux disques. (...) Si la réussite du projet, bien entendu, lui doit beaucoup, on en doit autant aux instrumentistes ainsi qu'aux chanteurs - et en particulier à Anna Reinhold qui (...) montre ici l'étendue de son talent : une étendue que l'on espère pouvoir mesurer mieux dans d'autres disques à venir, car sa Médée est aussi l'un des moments forts de ce programme Cavalli.»

Classique News - 20/09/15 - Alban Deags

«Donne la réplique l'excellente et jeune mezzo Anna Reinhold hier lauréate du Jardin des voix de William Christie qui prête sa voix ample et profonde aux autres héroïnes cavaliennes.»

Classica - Novembre 2015 - Luca Dupont-Spirio

«Donnant la réplique avec brio dans les dialogues et les duos, Anna Reinhold s'offre un moment de gloire avec l'invocation infernale de Médée, extraite d'Il Giasone

Classique News - 01/10/15 - Benjamin Ballifh

«Rien à l'époque de Cavalli n'égale l'imprécaution infernale de l'ardente Médé du Giasone (16459), vrai portrait lugubre et tragique, plein de haine d'une femme amoureuse en vérité accablée au bord du suicide, cri du coeur de sa solitude. Anna Reinhold, que nous avons auparavant écoutée en magicienne tout autant imprecatrice dans Didon de Purcell (1684), au Festival ddme William Christie à Thiré en Vendée, réussit l'expression de la fureur tragique qui dévoile sous les accents démoniaques, l'échec d'un âme solitaire vouée à l'autodestruction, âme maudite à la langue à la fois sauvage et raffinée, qui dès la fin du premier acte révèle une passion dangereuse. [...] Quel contraste avec la séquence alternant air / récitatif arioso qui suit du même Giasone, pathétique tout aussi intense et mordant mais ici sur le mode de l'imploration incarnée par la rivale de Médée, Isifile : Cavalli permet à la chanteuse d'exprimer un superbe portrait féminin, sensible et nuancé, celui d'une femme elle aussi abandonnée et finalement mais différemment à Médée, blessée. Ce Giasone mythique éblouit ainsi par les facettes contrastées, complémentaires des personnages féminins qu'il met en scène. [...] Les deux portraits se retrouvent finalement comme deux visages d'une même désespérance amoureuse.»

Grands airs de Cavalli

Festival d'Ambronay

20 Septembre  2015

Forum Opéra - 24/09/2015 - Bernard Schreuders

«Médée en fureur (Giasone) bénéficie du superbe tempérament d'Anna Reinhold, déjà remarquée dans Elena et qui s'épanouit davantage encore dans le vaste monologue de Déjanire (L'Ecole amante), merveille d'introspection et d'intelligence dramatique.»

Le Babillard - 28/09/2015 - Blanche Dutreuil

«Anna Reinhold impressionne d’autant plus qu’on ne la soupçonnait pas, puisqu’elle était jusque là plus au second plan, et d’une douceur presque effacée. Elle est ici saisissante de personnalité, de variété, avec une expressivité dans le visage, les yeux surtout, autant que dans la voix, qui lui confèrent une présence magistrale, sa gestuelle dramatique très habitée quoique stéréotypée donnant l’impression que Médée elle-même compose pour s’imposer devant les forces des enfers, en même temps qu’elle découvre au fond d’elle cette dimension à la fois divine et terrible qui fonde toute la complexité et la séduction du personnage. Fureur triomphante de l’invocation, mais aussi impatience, aigreur déjà, agressivité, tourment : l’amour de Médée est déjà plein de mort, de dévoration, jubilation aux sentiments les plus violents, et Anna Reinhold lui donne une glaçante mais troublante dimension vénéneuse, à la sensualité brusque et maladive, très en contraste avec les deux autres chanteuses qui reviennent tout en rondeur et en lumière, avec leur vitalité généreuse et sensuelle. »

Atys

La Chabotterie

5 Août 2015

Forum Opera -  05/08/2015 - Laurent Bury

«Après son passage par le Jardin des Voix, Anna Reinhold s'était vu proposer par William Christie d'être Cybèle en 2012, à Versailles et à New York : grâce à son somptueux timbre de mezzo et sa réelle présence scénique (même pour une version de concert), cette jeune artiste n'a pas à rougir de la comparaison avec Stéphanie d'Oustrac, l'autre Cybèle de la reprise par les Arts Florissants. Elle est une déesse impérieuse et insinuante, alternant magistralement cruauté et désarroi dans les dernières minutes de l'oeuvre. On suivra avec intérêt cette chanteuse dans ses futures incarnations, notamment l'Isabella de L'Italienne à Alger qu'elle sera à Tourcoing et au TCE en mai-juin prochain.»

Labirinto d'Amore

Festival Radio France

16 Juillet 2015

Thau-Info - Fastival Radio France à Agde - Jean-Marc Roger

«Thomas Dunford était accompagné ici par Anna Reinhold, mezzo soprano. Cette dernière a chanté a capella le programme Labirinto d'Amore, des chants d'amour. Nous avons assisté à un duo parfait, elle, souriante, maîtrisant parfaitemlent sa voix et lui, confiant, ne s'aidant que rarement de sa partition. Leurs sourires réciproques en disaient long sur leur complicité. Une bien belle découverte à laquelle le public a su rendre hommage avec de longs applaudissements.»

Airs sérieux et à Boire avec Les Arts Florissants

Miami, New World Center

Avril 2015

South Florida Classical Review - 30/04/2015 - Lawrence Budmen

«Mezzo Anna Reinhold sang a lengthy air by the obscure Joseph Chabanceau de la Barre with dramatic power, her strong low range rising impressively without strain to high tones. Tall and statuesque in a red gown, Reinhold was a subtle collaborator in duos and ensembles, her burnished sound smoothly produced. Her bridal duet with de Negri, to music by Couperin, was particularly winning.»

Elena

Opéra de Nantes

Novembre 2014

Classiquenews.com - 09/11/2014 - Alexandre Pham

«Anna Reinhold fait scintiller son timbre sombre et chaud.» 

Labirinto d'amore

Cycle Jeunes Talents

Novembre 2014

Classicagenda - 15/12/14 -  Cinzia Rota

«Si la voix de Reinhold (lauréate du Jardin des voix 2011) est pleine de charme, avec des aigus limpides et des pianissimi gérés avec assurance, son expressivité l’est tout autant : les expressions de son visage enrichissent le sens des paroles qu’elle chante et que sa diction rend tout à fait intelligibles.»

CD - Labirinto d'amore

Label Alpha

Septembre 2014

Classica - Octobre 2014 - Philippe Venturini

«Une belle anthologie d'oeuvres à la fois vocales et instrumentales qui illustrent magnifiquement le passage entre Renaissance et Baroque. (...) Le luthiste Thomas Dunford (...) et Anna Reinhold, éclose dans le Jardin des voix de William Christie, interprètent ce répertoire avec une assurance et une spontanéité sidérantes. (...) Comme à la scène, Anna Reinhold impose une présence et une intensité expressive peu communes, troublante sensualité de la douleur amoureuse ou tendresse bouleversée de la Vierge qui connaît le martyre à venir de son fils (Merula). Même privé de fil d'Ariane, il ne faut pas hésiter à s'aventurer dans ce Labirinto et laisser ses sens s'aboandonner.»

Culturopoing.com   - 03/09/2014 - Axelle Girard

«Averti ou profane, le mélomane ne laissera pas d’être aussi sensible à la voix de la mezzo Reinhold. Parfaitement assortie au répertoire, elle le maîtrise et le sert avec une justesse singulière. Curieuse et plurielle, Anna Reinhold chante aujourd’hui aussi (Phèdre tragédie lyrique d’Emmanuel Normand sous la direction d’Olivier Holt). Bien qu’elles soient des oeuvres les plus connues de Caccini, Amarilli mia bella et Mentre che fra doglie e pene se distinguent avec bonheur des interprétations plus classiques.
Si le duo qu’ils forment nous ravit, ce dernier n’occulte en rien l’originalité des voix, la diversité des rôles successivement déroulés. En deux notes : le portrait d’une révolution.»

L’Echo -   05/08/2014 -   Stéphane Renard

« La jeune mezzo-soprano française s’empare de ce répertoire subtil et exigeant avec le caractère et la justesse des voix appelées à une grande carrière. Le timbre est coloré. L’articulation parfaite. Le ton poignant, enivrant, tendre – c’est selon ! -, mais toujours paré de cette vérité propre à toute ‘Lettera amorosa’.»

Classiquenews.com -  10/07/2014 - Alexandre Pham

«L’amour mystérieux, insaisissable étend son envol et son ombre inquiétante, fascinante sur ce programme enchanté où la vocalité de l’excellente mezzo Anna Reinhold, en son abandon et sa gravité enivrante, captive dans l’allusion, et la ciselure caressante. La jeune lauréate de l’Académie vocale de William Christie, le fameux Jardin des Voix promo 2011, a encore gagné en autorité, en articulation et justesse de projection. La cantatrice [...] dévoile de réelles qualités de caratérisation et d’intelligibilité linguistique avec d’autant plus de mérite que le programme retenu réunit quelques perles du beau chant, belcanto de ce premier baroque. [...]  Souffle infini, justesse et couleur, caractère, intensité, souci du verbe fait chair et geste : la mezzo [...] La pureté d’élocution, la précision des attaques, la tenue du legato, surtout le style pudique, toujours en retenue fondent ici un art d’une rare éloquence. Le travail sur les couleurs et l’intonation est remarquable.»

Ionarts - 24/06/2014 - Briefly Noted: Kapsberger to While Away the Hours - Charles T. Downey

«Reinhold uses a somewhat broader edge to her tone, to give a greater scope to the dynamic contrasts of the airs.»

Airs Sérieux et à boire avec les Arts Florissants

Tournée

Décembre 2013

Opera Today -   24/12/2013 -   Claire Seymour

« Reinhold and Mauillon gave a deeply moving performance of ‘Le doux silence de nos bois' (The soft silence of the woods) by Honoré d'Ambruys. Above the repeating rising bass line, the mezzo soprano's opulent legato radiantly embraced the ornate melodic line while the tenor provided sweet yet more grainy foundations, suggesting in the first stanza the happiness of youth, ‘the time for tender loves and pleasures' and, in the second, the gentle melancholy of regret.»

The Times -   23/12/2013 -   Richard Morrison

«The singing was deftly nuanced, especially from Anna Reinhold and Cyril Auvity.»

Classical and opera Reviews -   19/12/13 -   Mélanie Eskenazy

«Less familiar, but equally exciting, were the sweet-toned mezzo of Anna Reinhold and the lyrical baritone of Marc Mauillon, surely both stars in the making.[...]The performance was at its best when the music was allowed to speak for itself: thus, Honoré d’Ambruys’ ‘Le doux silence de nos bois’ was exquisitely sung by Mauillon and Reinhold, the closing ‘C’est le temps des plaisirs et des tenders amours’ falling sweetly upon the ear.[...] another success with this evening, described by one audience member as “The best concert I’ve ever heard.”»

Elena

Opéra Comédie de Montpellier

Novembre 2013

Le Midi Libre -  12/11/2013 -   Michèle Fizaine

«Tous ont une personnalité vocale marquée, et l'on apprécie la basse Krzystof Baczyk, ainsi qu'Anna Reinhold, qui est Menestée.»

Elena

Festival d'Aix en Provence

Été 2013

Le Monde.fr -  10/07/2013 -   "Elena" à Aix-en-Provence, un miracle de sensualité -   Marie-Aude Roux

« Quant aux jeunes chanteurs[...], ils sont tous craquants : [...] Anna Reinhold.» 

Il Mondo della Luna

Théâtre Mouffetard

Mars-avril 2013

L'education musicale.com -   Mai 2013

«Les deux superbes voix de Charlotte Dellion (Clarice), voix puissante, bien projetée, sans vibrato et d’Anna  Reinhold (Lisetta), au très beau timbre, élégant et d’une rare douceur.»

Musikzen -   30/03/2013 -   Haydn puissance 3 -   Marc Vignal

«Grâce aussi aux interprètes, à la tête desquels on a envie de placer Anna Reinhold, très présente vocalement et scéniquement en servante Lisetta.»

Atys

Brooklyn Academy of Music

Septembre 2011

The New York Times -   26/09/2011 - Dialing Back the Clocks to the Court of Louis XIV -   Vivien Schweitzer

«They included the elegant mezzo-soprano Anna Reinhold, who offered a striking interpretation of Cybèle in “Atys” last week […] The three joined forces for a beautifully nuanced interpretation of the harmonically rich “Dialogue of the Three Graces,” from Lambert’s “Airs à Une, Deux, Trois et Quatre Parties.” »

The Times and Democrat -   22/09/2011 -   Go for Baroque: 'Atys' triumphs at BAM -   Mike Silvermann

«And mezzo-soprano Anna Reinhold, by turns seductive and violent, makes Cybele the true centerpiece of the opera. Her haunting final aria of grief shows her a solitary figure left to reflect on the destruction her passion has caused.»

New York Times -   19/09/2011 -   It's not easy to be a goddess's boy toy -   Allan Kozinn

«From the top of the cast to the bottom, there was no forcing, no outsize projection. You had the feeling, illusory or not, that the singers were performing at speaking volume; in fact, the pianissimo passages that propelled Anna Reinhold’s portrayal of Cybèle, particularly in the final act, were among the production’s most thoroughly moving moments, and you did not have to strain to hear them.»